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rennes le chateau, la revelation
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ESSAI D’INTERPRETATION DE LA DALLE REDIS REGIS
(de Dame Marie de Negre d'Ablès de Blanchefort)

 

 

    Selon nous, la dalle « Redis Regis… » aurait réellement existé  et subi différentes modifications dans le temps ; sa partie centrale serait d’époque templière tandis que les inscriptions latérales auraient été rajoutées par la Rose + Croix, après la redécouverte du tombeau de Christian Rosenkreutz (le Saint crucifié et mort sur la croix) à Aleth (fin du 16ème siècle – début du 17ème)
Nous retrouvons dans les inscriptions latérales les clefs de l’expression ET IN ARCADIA EGO du tableau de Poussin, expression énigmatique que nous avons traduite par « Le Saint repose en paix à Aleth »

Nous proposons ici même notre interprétation des inscriptions centrales dont la signification a jusqu’ici été totalement ignorée  et insoupçonnée.

Nous avons pour but d’éclairer le chercheur sur les significations multiples de tous les mots et symboles que l’on y rencontre, dans la plus pure tradition kabbalistique.

Nous établirons aussi que la disposition RELATIVE des trois ensembles (centraux, supérieurs et inférieurs) correspond chaque fois à une carte d’échelle différente permettant d’aboutir avec la plus grande précision à la découverte du Graal spirituel (tombeau).

 Nous ne remercierons jamais assez le « GENIE » qui a inspiré ses concepteurs…et m’en a autorisé la lecture…

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

PREMIERE  LECTURE (Grotte)

Ici, les inscriptions supérieures, centrales et inférieures représentent, à l’intérieur d’un lieu clos et Saint, la disposition relative, ainsi que nous allons l’expliquer, du tombeau du Christ, d’un trésor et de l’Arche d’Alliance.

                                                             

1° Lectures de l’inscription centrale :
Contrairement à ce que soutiennent les latinistes chevronnés, le IS final des 4 mots n’est pas un temps de conjugaison ; par exemple, REGIS contenant la racine REGO (roi), qu’ils voudraient traduire par « Tu règnes »…
En réalité IS est la représentation sacrée du mot Sauveur (Jésus) pris en tant que première et dernière lettre du mot latin, IesuS.
Selon le célèbre papyrologue Carsten Peter Thiede étudiant un fragment de papyrus (Matthieu) datant du premier siècle, « la tradition juive consiste à abréger les noms sacrés : ainsi il est écrit  (en grec) IS pour Jésus ou KE pour Seigneur »

REGIS signifie donc Jésus Christ (IS = Sauveur = Jésus, tandis que roi = oint = Christ)

Notons que les 4 IS finaux sont disposés, selon la lecture qu’on voudra en faire, en carré, en X ou en N inversé (ce dernier désignant le Christ, opposé du Saint représenté par N qui est le nombre d’or et de la perfection).
- RED est à prendre comme une racine du mot  REDae à l’origine du nom de Rennes-le-Château.
- CELL est une racine du mot CELLa  désignant une petite pièce, une crypte, mais aussi une racine du mot cellé = CACHE.
- ARC est à prendre comme une racine du mot ARCAS désignant à la fois un coffre (Arche) et un cercueil. On y retrouve aussi les premières lettres du mot « arche = voûte » et du mot ARCane = secret…

Nous avons fait DEUX lectures des inscriptions centrales :
- Dans le sens contraire des aiguilles d’une montre
REDIS REGIS  CELLIS ARCHIS : JESUS ROI DE REDAE CACHE EN ARQUES
- Dans le sens des aiguilles d’une montre
REDIS CELLIS REGIS ARCHIS : JESUS CACHE A REDAE REGNE PAR L’ARCHE.

Dont nous avons fait le synthèse :

JESUS ROI DE REDAE CACHE EN ARQUES REGNE PAR L’ARCHE.

2° Lecture de l’inscription supérieure
P et S (sans trait entre les lettres ni courbe enroulée), sont les initiales de « PECUNIA SUA »  inscription qui au temps des Romains et du Bas Moyen-Age se trouvait sur les sépultures contenant un dépôt précieux déposé comme viatique de l’occupant du tombeau.
Cela nous rappelle le message à l’identique que nous avons trouvé dans le petit parchemin (P1), « solis sacerdotibus » étant interprété par nos soins, malgré une opposition unanime, comme « l’unique prêtre Jésus » (Interprétation tirée de  « Hébreux )

Ces deux lettres P et S désignent ici un trésor dont l’importance doit être considérable étant donné la personnalité extraordinaire de l’occupant du tombeau.

3° Lecture de l’inscription inférieure
Certains ont supposé que l’animal à huit pattes qui est représenté serait un poulpe ; en fait il s’agit d’une araignée, et ce d’autant plus qu’il existe un jeu de mot entre l’ancien nom de Rennes-le-Château (REGNES) et l’araignée « araigne »

Selon nous, l’araignée représente, dans ce cas de figure, l’Arche d’Alliance…L’insecte tapi au centre de sa toile qui est un piège mortel, perçoit des informations provenant de toutes les directions.
L’Arche d’Alliance (comme Asmodée qui gardait le Temple de Salomon et qui est représenté comme Cerbère gardien du seuil dans l’église de RLC) émet ses rayonnements dans toutes les directions, condamnant à une mort rapide l’imprudent qui s’avance sans protection dans la caverne… « Ici est la Maison de Dieu et vous en avez fait une caverne de voleurs » est-il rappelé au dessus du porche de l’église, avant d’y pénétrer…
C’est aussi l’explication du message caché dans l’épitaphe et le grand parchemin, commençant par « Bergère pas de tentation… »

Entre les inscriptions centrales et l’araignée, on peut lire PRAE CUM
PRAE se traduit par  DEVANT ou  A COTE
CUM se traduit par AVEC

4° SYNTHESE

L’ensemble des inscriptions centrales (supérieures, médianes et inférieures) signifie selon nous :
« Jésus-Christ roi de Redae caché en Arques règne par l’Arche. Derrière lui se trouve son trésor tandis que non loin de lui et devant, se trouve l’Arche d’Alliance. »

Epoque : cette disposition décrite sur la dalle serait d’époque templière, puisque Jésus , trésor, Arche d’Alliance, ici rassemblés ne le seront plus après l’arrestation des Templiers en 1307 et la disparition de l’Ordre du Temple.

 

 

 

DEUXIEME  LECTURE (Carte nationale)
Dans cette deuxième lecture, les lettres P  et  S sont cette fois les initiales de « Polaris Stella », l’étoile polaire, ainsi que l’ont si justement observé  Messieurs Pineau et Lacoste dans « Le tombeau de Virgile ».
En traçant la ligne courbe s’enroulant autour du P et du S, l’auteur du codage a voulu signifier le mouvement des étoiles dans le ciel autour de l’étoile polaire qui reste fixe et indique le nord.

La verticale qui est alors tracée et qui divise la dalle en deux en son milieu, définit un  méridien  qui est celui de Saint Sulpice. C’est pour marquer ce méridien que furent construits derrière et de part et d’autre du cœur de l’église, les deux vitraux géants portant un P et un S

L’araignée (araigne), située dans la partie inférieure de la dalle désigne les deux Rennes  (REGNES), Rennes-le-Château et Rennes-les-Bains  …

                                  

 

 

 

TROISIEME  LECTURE (Carte I.G.N. locale)
Le P  et le  S  désignent cette fois les localités de Peyrolles et de Serres (églises), et le petit trait rajouté entre le P  et le  S la bande de terre (entre) où chercher…

L’araignée ne désigne plus l’Arche d’Alliance, ni la région des deux Rennes, mais le village de Rennes-les-Bains qui est situé sur un méridien compris entre ceux de Peyrolles et de Serres.(Carte )

                                 

 

 

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