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L’HISTOIRE.
A vous tous lecteurs qui êtes venus sur ce
site pour connaître le secret de l’abbé Bérenger Saunière et de son
trésor, je ne vais pas raconter d’histoires… Le secret de Rennes-le-Château n’est dit de RLC que parce que les hasards de l’Histoire ont fait que l’abbé Bigou a hérité du plus « Grand Secret » de l’Occident chrétien à la mort de la dernière héritière des veilleurs (ces différentes familles de seigneurs locaux qui gardaient les « Lieux » depuis des siècles), Marie de Nègre d’Ablès, et l’a confié à sa tombe, jusqu’à ce qu’un curé plus perspicace que les autres (Bérenger Saunière ) le redécouvre. -
L’abbé Saunière n’est que la figure ostensible et grotesque (en raison de
ses excès) d’un secret vieux de près de 2000 ans, et qui remet en cause
toute la religion chrétienne : la découverte du tombeau du vrai Christ
(non crucifié et non ressuscité).
JESUS-CHRIST BAR-ABA (PREMIERE REVELATION -tome 1) Il ressort de nos découvertes que le Christ est venu vivant dans le Razès, après la crucifixion, accompagné des Maries dont la légende rapporte qu’elles auraient abordé près d’Arles. Les Wisigoths qui ont crée un royaume entre le Rhône et les Pyrénées après le sac de Rome (410) étaient des Chrétiens disciples d’Arius qui disait que le Christ était un homme, un Prophète, et non un Dieu. En s’établissant dans le Razès ils ont secrètement veillé sur son tombeau caché près de leur place forte de Rhedae. Après la conversion de Clovis en 496, Rome minoritaire et entourée de royaumes ariens reprend l’offensive, et en 507 les Francs envahissent et détruisent le Royaume Wisigoth, à la recherche du trésor du sac de Rome (pour eux) et du tombeau du Christ (pour le remettre au Vatican) ECHEC DE LA PREMIERE CROISADE. Pendant les siècles qui suivent, jusqu’à la deuxième croisade contre les Albigeois en 1209, plusieurs familles de seigneurs locaux veillent sur les secrets du Razès. Signalons au passage l’importance de Guillaume de Gellone (ou d’Orange) dont la sœur avait épousé un-fils de Charlemagne, et fondateur de l’abbaye de Saint Guillem du désert, non loin de Lodève. A Orval (fondée en 1070 par des moines venus mystérieusement de Calabre) qui reçut la visite de Nostradamus, et d’où partit Pierre l’Ermite qui prêcha la première croisade, étaient cachés des secrets. Godefroy de Bouillon (près d’Orval) refusa d’être roi de Jérusalem (1099). Bernard de Fontaine (Citeaux) qui fonda l’abbaye de Clairvaux et parraina la création de l’Ordre du Temple en 1128 au Concile de Troyes, envoya en mission archéologique les neuf premiers chevaliers (1118 à 1127) à la recherche de l’Arche d’Alliance qu’ils retrouvèrent sous l’ancien temple de Salomon (le premier Temple) et ramenèrent en forêt d’orient, ainsi que de nombreux secrets, concernant Jésus et ce qui devint l’art gothique… Les comtes de Toulouse de la dynastie des Raymond sont issus de saint Hilaire, à quelques kilomètres d’Aleth gardienne du tombeau du Christ (où vint tout exprès Nicolas Pavillon) et de l’abbaye de Marceille où comme le dit Boudet, s’ouvrent les yeux…L’église et le château reliés par un souterrain, que l’on voit sur leurs armoiries sont ceux de saint Hilaire (ainsi que le suggère Maurice Leblanc) et non pas ceux de Toulouse. Les armoiries du Languedoc en font le Pays du « Jardin des Hespérides » et celui des R+C. Les seigneurs locaux du Razès, Trencavel (à l’origine du nom de Perceval), d’Aniort et Blanchefort, ralliés à la cause Cathare, étaient les gardiens du Graal (tombeau) secrètement soutenus par les Templiers locaux (qui n’intervinrent pas dans la croisade). La famille De Voisin qui hérita de la majorité de leurs fiefs s’allia à la famille des d’Aniort qui possédait avant eux Arques et Peyrolles…(Ramon d’Aniort, seigneur de Peyrolles = Peyra ola étant le Perella du Graal) Bien plus tard, le secret échut aux Blanchefort et Hautpoul, derniers seigneurs de Blanchefort et Rennes-le-Château, avant de revenir en 1781 à l’abbé Bigou confesseur de Marie de Nègre d’Ablès. Le Secret ne fut pas connu contrairement à ce que l’on croit, uniquement au niveau local : -
L’existence du tombeau du Christ fut toujours connue du Vatican qui fit
tout pour le récupérer en vain, jusqu’à l’abbé Saunière qui refusa de le
livrer. - Les Templiers qui furent brièvement les gardiens du tombeau ne livrèrent jamais leur secret (même sous la torture), qui revint à la R+C qui le redécouvrit au début du 17ème siècle sous le nom du tombeau de Christian RosenKreutz, (en réalité le Christ des Templiers à la croix rouge). - La Rose+Croix sous d’autres noms, comme la société le « Brouillard » ou la « Société angélique » recruta des artistes (Peintres et écrivains) qui cachèrent le secret dans leur œuvre. - Les rois de France connurent puis perdirent à plusieurs reprises le secret trésoraire ainsi que le rappelle Maurice Leblanc dans « L’AIGUILLE CREUSE »
JESUS-CHRIST BAR-ABA (PREMIERE
REVELATION –tome2) Je ne cherche à convaincre personne, sinon par l’étude, de ma lecture des évangiles et plus généralement du Nouveau Testament, qui remet totalement en cause le Christianisme officiel. Non, je ne suis pas une secte, ni un illuminé, mais un scientifique et un rationaliste, qui a fait la preuve par ma réussite professionnelle, de mon bon sens. Le secret de l’évangile selon Luc, est qu’en conformité avec l’attente des sectes messianiques (Esséniens et Nazoréens), il décrit en son début l’existence et la manifestation de DEUX MESSIES , un Messie sacerdotal ou de vertu, incarné dès le sein par Jean le Baptiste, et un Messie royal ou libérateur incarné par Jésus. Le secret des évangiles de Marc et Matthieu , est qu’ils donnent la liste des frères par le sang de Jésus, mais encore et surtout que le charpentier n’est autre par suite d’une erreur de traduction, qu’un magicien (auteur de miracles selon la terminologie chrétienne). Marc précise que Jésus est charpentier (magicien) et non pas fils de charpentier ! Les
secrets de l’évangile du selon Jean sont nombreux : Il
ressort de l’étude des scènes de l’arrestation de Jésus, qu’il s’agit de
l’arrestation de deux personnages distincts en des lieux différents (Mont
des oliviers et Temple) et d’une substitution, le vrai Christ (Nazoréen et
roi) étant Jésus « bar abba » (fils du père) devenu Barabbas en
grec, non crucifié et libéré par Pilate. Jésus vivant, tout se lit et s’explique sous un jour nouveau : les rencontres de Paul avec Jésus vivant et de qui il reçoit des ordres, les rapports entre Paul et l’Eglise de Jérusalem, toutes les insurrections juives jusqu’à 66 à l’instigation de Christos selon Suétone, et d’un « Egyptien » (en raison de sa magie et de son séjour en Egypte) selon Flavius Josèphe, « Apocalypse » dictée par Jésus à Lazare-Jean qui incite ses disciples à incendier Rome en 64 Pour ce qui concerne les évangiles, s’il est admis que le selon Matthieu est de Lévi, personne ne soutient à part moi que le selon Jean est de Lazare, et que le selon Marc est de Jean l’apôtre (frère de Jacques le majeur).Ainsi, s’il est permis de se poser la question pour le selon Luc , tous les évangiles auraient été écrits par des contemporains de Jésus, et parmi les canoniques deux par des apôtres et un par Lazare (qui doit être comptabilisé en plus des 12 apôtres lors de la Cène). Jésus ayant demandé à ses apôtres de propager la « bonne nouvelle », il y aurait tout lieu de penser que tous les apôtres ont écrit un évangile, à rechercher parmi les apocryphes. Les apôtres ont pris des notes pendant qu’ils accompagnaient Jésus, mais une partie des paroles qui lui sont attribuées ont été prononcées APRES la crucifixion. La publication des évangiles écrits du vivant de Jésus, par ceux qui étaient ses proches, n’a eu lieu qu’après sa mort en 68. *Menahem fils de Jésus Barabbas et présenté par Jésus, comme son successeur dans Jean, est le même qui revendique la royauté en 66 (selon la promesse) et se fait lapider.
CATHARES ET TEMPLIERS Le
chiffre deux revêt une importance particulière pour les Templiers
dont le sceau de l’Ordre représente deux hommes sur un même cheval. 2°- Il faut y voir aussi le dédoublement du nom de Jésus Barabbas, le Christ historique, en un Barabbas séditieux et brigand (nom donné par les Romains aux Sicaires et Zélotes) et un Jésus de la Foi (celui des évangiles) qui masque celui du crucifié et se pare des habits de vertu du Baptiste et de son successeur.
LE TOMBEAU DE MARIE DE BETHANIE (MARIE MADELEINE) EPOUSE DE JESUS L’un
des nombreux secrets cachés dans l’épitaphe de Marie de Nègre d’Ablès est
la présence du tombeau de Marie Madeleine qui est Marie de Béthanie (« pécheresse
repentie » et épouse de Jésus) dans une crypte distincte de celle des
seigneurs, située sous l’église de RLC.
L’ARCHE D’ALLIANCE (DEUXIEME REVELATION). L’Arche
d’Alliance dont le procédé de fabrication est décrit dans la Bible,
fonctionne comme une bouteille de Leyde et pourrait être décrite comme un
coffre-fort qui électrocute celui qui la touche ! Son principe de
fabrication procède donc de la connaissance de l’électricité et sa
technologie du système « D »… L’Arche
d’Alliance cachée sous l’ancien Temple de Salomon lors de l’arrivée des
Babyloniens en (-587) n’a pas été officiellement retrouvée depuis 25
siècles, mais ramenée par les Templiers et cachée dans une grande caverne
immortalisée par le roman « L’AIGUILLE
CREUSE » de Maurice Leblanc père d’Arsène Lupin, sous le mont
Aiguille, près d’Arques (Aude) ainsi que nous l’avons démontré.
UN MOT SUR LE TRESOR Dans
cette perspective, il n’y a rien d’étonnant, à ce que ses disciples qui le
considéraient comme le Messie royal, puis les Wisigoths qui le tenaient
pour un prophète, aient disposé autour de lui le plus grand trésor de
tous les temps, qui ainsi que le précise Nostradamus a différentes
origines (« grappé au cours des siècles… ») :
Tout ce
qui n’avait pas de rapport à la religion a été fondu en 1156 par les
Templiers qui firent venir d’Allemagne des fondeurs et non pas des
mineurs, à Blanchefort. C’est à partir d’indications laissées par Jésus Barabbas et trouvées dans son tombeau que les Templiers ont retrouvé l’Arche et l’ont ramenée, d’abord en forêt d’orient , puis dans le Razès, car symbole de la puissance des rois davidiques et de l’Alliance, et placée en gardien (cf Asmodée) du troisième Temple…
LA « REVELATION » fut reçue en 1997, et sa publication ne commença qu’une fois le terrain déminé. Que celui qui peut comprendre comprenne !
« FINIS GLORIAE MUNDI IN ICTU OCULI »
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