Latin ligo « attacher » angl leash « lien, attache » ; curtus « raccourci », short « court » ; doceo « enseigner », teach « enseigner » ; cerasum « cerise », cherry « cerise » ; gena « joue », chin « menton » cheek « joue » ; gelu « gelée », chill et cold « froid »; fagus « hêtre », beech « hêtre » ; piscis « poisson », fish « poisson » ; discus « plat », dish « plat ». Les consonnes latines «g et c» représenteraient donc le «ch» et le «sh» anglais et il ne serait pas surprenant, d'après ces exemples que les chintantes de shower et de shove traduisirent exactement les deux «c» du mot Cir-cius transmis par les latins.
Il nous met en garde sur le danger d'y accéder. «Ch» et «sh» renvoient à la voie sèche, considérée en ésotérisme comme une voie rapide mais dangereuse. Les 9 mots qui suivent le prouvent. Par une lecture linéaire, il décrit l'accès au sanctuaire : il faut s'attacher pour prendre le raccourci, il est dangereux, on peut en saigner (enseigner), arrivé dans le temple (kirch), on a joué à mentir (joue, menton), on est pris d'effroi (gelée, froid=effroi), et pour cause, au centre du Tombeau gît l' Etre, le Poisson et il est allongé (plat, à plat). En résumé, Boudet nous guide vers un orri où les goths ont déposé des reliques, probablement des premiers Chrétiens (la Reine de Marseille, et le Poisson), faisant de ce lieu un mausolée ou tombeau. Il note ses doutes, on nous a menti, sûrement sur la véritable histoire du Christianisme !
Le Sanglier gît dans un endroit fermé par un rouler, il est allongé près de l'autel de Madeleine (mataline dérivé de Madeline), Ce lieu est un Temple gaulois (fan gallow) et c'est un tertre en pierre et terre.
La croix du cromleck est une allusion au crucifié dans le cercle de pierre. S'ensuit 3 pages de conclusion, concises, qui se terminent par : «Alors, à l'arête du cap de l'hommé sur le haut d'un ménir, en face du temple païen, converti en église chrétienne détruite plus tard par l'incendie, fut sculptée une belle tête du Sauveur regardant la vallée...la croix victorieuse du paganisme, n'a pas discontinué de régner dans le cromleck de Rennes-les-bains...». Le Sauveur repose en face du cap de l'homme, dans un ancien temple païen, converti de facto en église chrétienne et Boudet insiste par 2 fois sur la «tête» (cap de l'homme et tête du Sauveur), pour, comme nous l'avons vu, jouer sur la racine TESTA, tuile et tortue, sous-entendu la structure du tumulus.
J'ai exposé par ce triptyque la pensée profonde de Boudet où le sanctuaire annonce la mort et la mise au tombeau probablement des croyances de notre curé. La découverte du corps de MM et des cendres du XS lui permet de devenir le gardien et le garant de ce dépôt sacré et d'y appliquer les lois d'une nouvelle mystique.
UNE SEPULTURE (Par Héron)
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Re: UNE SEPULTURE
X2
heron a écrit : ↑ven. 23 févr. 2024 10:49 Boudet explique à son lecteur dans le « Remarques... » autour du chapitre consacré au « C, T et I palatal. La permutation », la technique et le tour de force indispensable, par un jeu de pivotement, pour accéder au sanctuaire paléochrétien.
Nous allons plonger avec notre curé dans les racines « ct, tr, et cs (x) » et parvenir par l'entremise du « I palatal » (le palais du I) au cœur de la manifestation de sa réflexion.
La cabale phonétique nous est d'une aide précieuse pour circuler dans les écrits de Boudet et « ct, tr et cs (x) » en absorbant le I palatal se lit CRIST (sans le H!). Il nous conduit, donc, au sanctuaire du XS.
Il note ensuite comment il a techniquement procédé pour entrer dans le mausolée, suivons le pas à pas munis d'une bonne lampe torche.
La première indication porte sur le « huit , octo », 8 est l'idéogramme du sanctuaire aux deux cellas (araignée, la règne) puis il déroule le fil : du tour de main et « la manière d'agir », des conditions extérieures (une nuit laiteuse), du procédé mis en place (tirer, enlever, la pierre charrue), et enfin de son arrivée au centre du tombeau où gît une « fratrie ».
Il précise que ce n'est pas une famille ordinaire (« putridus »), puisqu'elle est le fruit d'une substitution du languedocien de l'aspirée H en I palatal.
J'opte pour un puits ou un conduit d'aération.
Re: UNE SEPULTURE
X3
Le Christ et son épouse ne sont plus dans le tombeau familial !
Les os du Christ sont depuis 1208 dans le dernier tombeau (inaccessible) construit par les Templiers sous le mont Cardou, et les reliques de Marie de Béthanie sont dans la crypte, sous l'église de RLC.
Il reste la fratrie (2 frères), c'est à dire la descendance du Christ.
Le frère ainé est Menahem initiateur de la révolte de 66 et exécuté par les siens
Le cadet est Lazare (Eleazar) le héros de Massada, qui se suicida avec tous les défenseurs en 74.
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Bonjourheron a écrit : ↑ven. 23 févr. 2024 10:49
La cabale phonétique nous est d'une aide précieuse pour circuler dans les écrits de Boudet et « ct, tr et cs (x) » en absorbant le I palatal se lit CRIST (sans le H!). Il nous conduit, donc, au sanctuaire du XS.
Il note ensuite comment il a techniquement procédé pour entrer dans le mausolée, suivons le pas à pas munis d'une bonne lampe torche.
La première indication porte sur le « huit , octo », 8 est l'idéogramme du sanctuaire aux deux cellas (araignée, la règne) puis il déroule le fil : du tour de main et « la manière d'agir », des conditions extérieures (une nuit laiteuse), du procédé mis en place (tirer, enlever, la pierre charrue), et enfin de son arrivée au centre du tombeau où gît une « fratrie ».
Il précise que ce n'est pas une famille ordinaire (« putridus »), puisqu'elle est le fruit d'une substitution du languedocien de l'aspirée H en I palatal.
J'opte pour un puits ou un conduit d'aération.
Le Christ et son épouse ne sont plus dans le tombeau familial !
Les os du Christ sont depuis 1208 dans le dernier tombeau (inaccessible) construit par les Templiers sous le mont Cardou, et les reliques de Marie de Béthanie sont dans la crypte, sous l'église de RLC.
Il reste la fratrie (2 frères), c'est à dire la descendance du Christ.
Le frère ainé est Menahem initiateur de la révolte de 66 et exécuté par les siens
Le cadet est Lazare (Eleazar) le héros de Massada, qui se suicida avec tous les défenseurs en 74.
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