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rennes le chateau, la revelation
rennes le chateau, la revelation

©© P.Silvain, www.rennes-le-chateau-la-revelation.com mardi 26 septembre 2000

A PROXIMITE  DE LA NOUVELLE JERUSALEM SONT
LES  TRESORS  DETROIS  ROIS
JESUS, SALOMON, ALARIC Ier

Ces trésors colossaux sont sacrés et destinés au futur Grand Monarque qui aura pour Mission d’instaurer sur terre le Royaume de Dieu...

 La « Parabole des épis froissés le jour du Sabbat », et qui est citée dans un parchemin, constitue l’un des plus importants messages livrés par le Christ.
Jean-Pierre Monteils écrit p.134 :
« Cette parabole éclaire l’homme sur la conduite à tenir face au rituel et aux obligations matérielles des églises, et lui enseigne qu’il existe des cas d’intérêt supérieur où la règle peut être transgressée... »

 Et conclut avec beaucoup de perspicacité p.135 :
« Si nous appliquons au trésor cette parabole, ne veut-on pas signifier qu’il s’agit d’un dépôt de caractère sacré, que la règle interdit de toucher, mais qu’un intérêt supérieur (dans un cas bien précis) autorise à enfreindre l’interdit et à utiliser, certainement dans un cadre très particulier, la trouvaille ? »

 1° - LE TRESOR DE JESUS

Jésus-Christ Barabbas, roi caché des Juifs, et chef du mouvement Nazoréen, prélevait sous la contrainte un impôt, dans son pays occupé par les romains. Pour ne pas retarder sa marche, il a constitué des dépôts précieux à proximité des lieux de « perception », jusqu’à la révolte de 66.
Le rouleau de cuivre de Qmran, trouvé avec les manuscrits de la Mer Morte en 1952, restauré par EDF, et restitué à la Jordanie par la France en 1997, fait état d’un trésor caché en l’an 68 dans 64 cachettes répertoriées.
Ce trésor fabuleux (26 tonnes d’or, 65 tonnes d’argent, des objets de culte) dont l’origine est inexpliquée par les historiens, a été récupéré par les partisans de Jésus, après la destruction de Jérusalem en 70 et l’écrasement du mouvement Zélote.
Ce trésor sacré a été ramené en Septimanie et caché dans le Razès à côté du tombeau de Jésus.

 2° - LE TRESOR DE SALOMON

Le roi Salomon, fils de David, a été désigné par l’Eternel pour construire à Jérusalem le premier Temple, qui porte son nom.
Ce Temple détruit en -587 lors de la prise de Jérusalem par Nabuchodonosor, a été reconstruit au retour de l’exil de Babylone qui a duré 50 ans (« DANIEL »).
Le deuxième Temple, restauré par Hérode le Grand (mort en -4) a été incendié et détruit lors de la prise et de la destruction de Jérusalem par les Romains sous les ordres de Titus, en 70.
Les Trésors emmenés en trophées à Rome ne font pas mention de l’Arche d’Alliance, mais de la Menorah (Chandelier à 7 branches) et de la Table des pains d’oblation, représentés sur l’Arc de Triomphe de Titus que l’on peut toujours observer à Rome (cf. Photo).

Ces trésors conservés dans le Temple de Jupiter capitolin puis dans le palais des Césars ont été pillés par Alaric Ier en 410, lors de la prise de Rome par les Wisigoths.

 3° - LE TRESOR D’ALARIC

Le trésor des Wisigoths établis en SEPTIMANIE après le sac de Rome en 410, était constitué de deux parties ; le trésor « royal » provenant des recettes dont le Roi disposait librement, et le trésor dit « ancien » (ou national) qui était intouchable, constitué de prises de guerre et d’objets sacrés.
Outre les trésors du sac de Rome, le trésor ancien était riche du pillage de la Grèce dévastée par les Wisigoths en 395, à l’exception d’Athènes.

 

En 507, les Francs de CLOVIS ont attaqué le royaume WISIGOTH, pris TOULOUSE, et fait sans succès le siège de CARCASSONNE.
Selon l’historien PROCOPE dans « DE BELLO GOTHICO » :
« Les Francs attaquèrent CARCASSONNE où ils avaient ouï dire que le trésor des Wisigoths, du pillage de Rome, était caché ».
Le Roi Wisigoth ALARIC II fut tué à la bataille de VOUILLE dont personne ne connaît le site.
Quoi qu’il en soit, les Francs n’ont rien trouvé ; THEODORIC, Roi des GOTHS d’Italie, mit en lieu sûr le trésor « royal » à RAVENNE, puis le rendit à AMALRIC, fils d’ALARIC II, lorsque le danger fut écarté.

UNE PARTIE DU TRESOR DES WISIGOTHS FUT RETROUVEE ET EST ATTESTEE PAR L’HISTOIRE.

- En 711, lorsque les Arabes prirent TOLEDE, capitale espagnole de ce qu’il restait du royaume Wisigoth, ils mirent la main sur le MISSORIUM qui faisait partie du trésor « ancien », ainsi que le rapporte un inventaire retrouvé à DAMAS.
- A la fin du XIXème siècle, à GUARRAZAR, neuf couronnes de Rois, en or massif, ornées de saphirs, furent découvertes dans un champ. La France les conserva au musée de CLUNY jusqu’en 1943, date à laquelle elle les restitua à l’Espagne.

Nul n’a jamais entendu parler depuis, du reste du trésor, et s’ils avaient été découverts, il est hors de doute que les objets sacrés de culte, n’auraient pas été fondus.
La légende, la géographie, la logique, tout indique que le reste du Trésor a de grandes chances d’être caché dans le RAZES, près de RHEDAE, qui était la citadelle inexpugnable des Wisigoths.
En réalité, CLOVIS savait EXACTEMENT où chercher, et cela explique pourquoi les combats autour de Rhedae furent acharnés.

DEUX « FAITS DIVERS » ATTESTENT QUE LES TEMPLIERS PUIS LEURS SUCCESSEURS DISPOSAIENT DU TRESOR

L’HISTOIRE DES FONDEURS ALLEMANDS
En 1156, les Templiers installèrent sur le plateau du Lauzet, entre Blanchefort et Rennes-le-Château, une colonie de travailleurs allemands, avec interdiction d’avoir le moindre contact avec la population locale.
On expliqua qu’ils exploitaient l’ancienne mine d’or de Blanchefort, mais, fait curieux, il ne s’agissait pas de mineurs, mais de fondeurs...
Cela pourrait laisser supposer qu’ils ne creusaient pas, mais transformaient un immense butin en lingots d’or ; quoi de plus habile que de le dissimuler dans une galerie, au fond d’une mine !

L’HISTOIRE DES FAUX-MONNAYEURS DU BEZU
En 1307, les Templiers de France avaient tous été arrêtés le même jour (13 octobre). Le 2 mai 1312, l’Ordre du Temple avait été dissous par Bulle du Pape CLEMENT V.
En 1340, une perquisition des agents du Roi CHARLES V, au château du BEZU, a permis de surprendre en flagrant délit de battre fausse-monnaie, le Seigneur Guilhen CATHALA, son épouse, et deux comparses.
Un agent du Roi fut tué et les autres mis en fuite ; devant une affaire aussi grave, les soldats durent intervenir et arrêter les coupables.
A cette époque, battre fausse-monnaie pouvait signifier fabriquer des pièces ne contenant pas le poids d’or requis, ce qui était du vol, mais également fabriquer de la bonne monnaie sans autorisation, ce qui était interdit. D’où venait donc l’or ?
L’affaire n’eut pas de suite, et les « criminels » furent amnistiés, car le Seigneur de CATHALA était à la fois gendre du Seigneur de RENNES, et neveu du Pape BENOIT XII, de son vrai nom de Jacques FOURNIER, ancien cistercien au monastère de BOULBONNE...

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