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vendredi 27 avril 2001
« Vous
avez beau entendre, vous ne comprendrez pas ;
Vous avez beau regarder, vous ne verrez pas. »
MT.13(14).
PREMIERE
PARTIE
« Ecoute,
réfléchis, raisonne, déduis et
conclus... »
(Maurice
Leblanc : « LE TRIANGLE
D’OR »).
page 2
1985
Le Président américain
Ronald Reagan a révélé à Falston (Maryland) au cours d’une déclaration
publique (14/12) que lors de ses entretiens de Genève, le mois précédent,
avec le Président Gorbatchev, « Il
a été question de l’attitude que prendraient les deux
superpuissances, face à une menace extraterrestre... ».
1987
Le 16 février,
lors du Forum international « Survie
de l’Humanité », le Président Gorbatchev a annoncé
qu’il avait accepté « la demande de
collaboration du Président américain en cas
- d’invasion - extraterrestre. »
Le 5 septembre,
lors d’un déjeuner à la Maison-Blanche, le Président Reagan a
demandé au ministre des affaires étrangères d’URSS de confirmer
cette collaboration ; Edouard Chevardnadze y a consenti.
Le 21 septembre,
s’impatientant du retard mis à la collaboration (du fait de la réticence
des militaires américains à partager la technologie spatiale) Ronald
Reagan a officiellement saisi l’Assemblée Générale des Nations
Unies (O.N.U.)
1989
Le mur de Berlin est tombé
sans que les Soviétiques réagissent militairement. Les pays de l’Est
s’émancipent de l’URSS et rejoignent l’Occident capitaliste.
1990
L’URSS éclate et
l’ancienne Russie collabore ouvertement sur la scène internationale
avec les USA, abandonnant ses anciens alliés, dont l’Irak de Sadam
Hussein.
Le 4 mai, le Président de
l’URSS, Iouri Gorbatchev, déclare aux
« Jeunesses
communistes » :
« Le phénomène OVNI existe
et il faut s’en occuper sérieusement. »
page 3
INTRODUCTION
Le monde moderne, celui des
occidentaux et du vingtième siècle a
« découvert » le phénomène O.V.N.I. (Objets Volants
Non Identifiés) en 1947, lors de l’événement survenu près de
Roswell, le 4 juillet.
O.V.N.I. est une appellation française servant à désigner
ce que le public a longtemps appelé
« soucoupe volante » ou
U.F.O. en anglais (Unidentified Flying Object).
Depuis cette date, la littérature mondiale regorge
de centaines de milliers de témoignages faits par des personnes
dignes de foi, et décrivant des Phénomènes
Aériens Non Identifiés (P.A.N.I.) observés sur tous les continents.
Les lecteurs intéressés trouveront très facilement en librairie ou sur
internet l’éventail des thèses avancées pour décrire et
(ou) expliquer ces phénomènes.
De célèbres séries télévisées américaines récentes
« X
FILES » et
« DARK SKY », ou plus anciennes comme « V »
(Visiteurs) ou
« LES
ENVAHISSEURS »
(David Vincent), ont habitué les jeunes générations devenues
aujourd’hui adultes, à l’éventualité d’une menace venant de
l’espace.
Dans tous les cas, le message répété
est le suivant :
« La vérité est ailleurs » (X Files).
« L’Histoire, telle que nous la connaissons, est un mensonge. »
(Dark Sky).
Le cinéma, au travers de superproductions ayant
obtenu un succès mondial, s’est partagé entre l’hypothèse de
l’existence de bons extraterrestres (« RENCONTRE
DU 3ème TYPE »)
et celle de méchants colonisateurs (« INDEPENDANCE
DAY »
« MARS ATTAQUE » « HIDDEN ».)
Dans tous les grands pays,
l’Armée et les Services Spéciaux ont créé des sections spécialisées
pour collecter et traiter les informations, mais les résultats de leurs
investigations sont demeurés confidentiels (Secret Défense).
Dans le privé, des témoins et des chercheurs se sont groupés au sein
d’associations, le plus souvent dans le but
« d’avertir » le monde ou de lui faire partager leurs
convictions de l’existence de visiteurs extraterrestres.
Notre propos n’est pas d’écrire un livre supplémentaire sur les
soucoupes volantes, mais de révéler la véritable nature du phénomène
ovni, qui explique les origines de l’humanité et la place de l’homme
dans l’Univers.
L’Humanité
sera-t-elle assez forte pour supporter la Vérité ?
page 4
LE
CRASH DE
ROSWELL
1° - Roswell :
les faits indiscutables (extraits du rapport du COMETA).
24 juin 1947 - Observation de neuf OVNI par l’américain
Kenneth Arnold. La nouvelle sera diffusée dans le monde entier.
8 juillet 1947 (matin), Roswell
- La base communique aux radios locales une information qui fera le tour
du monde : un disque volant s’est écrasé dans un ranch et les militaires de la
base ont récupéré les débris (vidéo).
8 juillet après-midi, Fort Worth (Texas) -
Le général Ramey, commandant la 8ème armée aérienne, dont dépend la
base, annonce aux journalistes, qu’après examen les débris sont ceux
d’un ballon météo. Il leur présente des débris que les journalistes
photographient. L’affaire est enterrée pour plus de trente ans.
1978 - Le lieutenant-colonel Marcel (ER), « intelligence officer »
de la base en 1947, qui a récupéré les débris, déclare à la télévision
que ceux-ci étaient sûrement d’origine extraterrestre (vidéo).
Les débris que le général Ramey a montrés aux journalistes ne sont pas
ceux que Marcel lui a apportés de Roswell.
Les ufologues américains
entreprennent de nombreuses enquêtes et recueillent des déclarations
assermentées et notariées ainsi que des témoignages filmés. De
nombreux témoins déclarent que des militaires, en juillet 1947, les ont
menacés de mort s’ils parlaient (vidéo). Selon certains témoignages,
à quelque distance du champ de débris, l’armée aurait trouvé la
carcasse d’une sorte de planeur spatial et des cadavres de petits humanoïdes
(vidéo).
1991 - Le général du Bose (CR), chef d’état-major du général Ramey en
1947, confirme par affidavit que ce dernier a substitué aux débris
transmis par la base de Roswell ceux d’un ballon météo, qu’il a
montrés aux journalistes.
Début 1994 - Le député Schiff
(Nouveau-Mexique) demande au Department of
Defence (DoD) des éclaircissements sur l’affaire. Ne les
obtenant pas, il demande au General Accounting Office (GAO) une enquête
sur la façon dont ont été gérés, par l’Air Force notamment, les
documents relatifs au crash de Roswell.
Septembre
1994
- Le secrétariat d’Etat de l’Air Force publie un rapport sur Roswell
: les débris trouvés dans le ranch ne peuvent être ceux d’un avion ou
d’un missile ; ce sont probablement ceux d’un train de ballons du projet
secret Mogul. Le général Ramey, pour protéger le secret, a fait
croire à un ballon météo, dont les matériaux (enveloppe et réflecteur
radar essentiellement) sont les mêmes. Le
rapport tronque les affidavits de certains témoins pour que les débris
étranges qu’ils décrivent apparaissement comme des débris de ballon
Mogul. Il ne mentionne pas la carcasse et attribue les - témoignages de
bonne foi - sur les humanoïdes au - brouillard du temps -.
Juillet 1995
- Le rapport du GAO mentionne la nouvelle version de l’Air Force, et déclare
:
- page 1,
- Le débat sur ce qui est réellement tombé à Roswell
continue -
- page 2 - Tous les documents
administratifs de la base pour la période mars 1945-décembre 1949 ont été
détruits, et tous les messages radio envoyés par la base d’octobre
1946 à février 1949 ont été détruits. Le bordereau de destruction
ne mentionne pas quand, par qui, et sur l’ordre de qui cette destruction
a été effectuée -
L’enquête du GAO ne lui a pratiquement pas apporté de documents
intéressants concernant l’incident de Roswell, malgré ses demandes à
de nombreuses institutions (CIA, FBI, DoD, DoE, NSC...).
Eté et
automne 1995 - Un film sur l’autopsie d’un prétendu - cadavre humanoïde à
Roswell -, en 1947, est projeté par environ trente télévisions dans le
monde. Son authenticité est douteuse, mais surtout rien dans le film ne
prouve que le cadavre ait la moindre relation avec l’incident de
Roswell. L’amalgame est pourtant fait dans une grande partie de la
presse écrite et télévisée, ridiculisant
ainsi l’affaire de Roswell.
Le rapport du COMETA (voir plus
loin) discerne dans les agissements souterrains d’organismes officiels
ou officieux américains, ce qu’il appelle « la
désinformation réductrice » (en tronquant ou en minimisant les
témoignages), de « la désinformation amplifiante »
qui consiste à exagérer des faits avérés pour les ridiculiser et les
rendre non crédibles.
1996
- Le film « INDEPENDANCE
DAY » et la série « X-FILES » mentionnent fortement Roswell.
page 5
2° - Complément
d’informations
Juillet
1997
- Le témoignage du colonel Corso :
Le colonel Corso qui fut de 1953 à 1957,
« LE » membre militaire du National Security Council Staff, donc en
contact permanent avec le Président Eisenhower a sorti en juillet
1997 un livre retentissant intitulé
« THE DAY AFTER ROSWELL ».
Dans ce livre
préfacé par le Président de la Commission des Forces Armées du
Sénat (1998), Strom Thurmond, l’auteur affirme que
« l’objet trouvé à Roswell était bien un vaisseau extraterrestre. Il
aurait vu lui-même, en juillet 1947, le cadavre de l’un de ses
occupants conservé dans un cercueil de verre. »
Il n’y a « a priori »
aucune raison de douter du colonel Corso, retraité aisé, dont le fils a
fait fortune dans l’industrie aéronautique.
Conseiller des Présidents Truman puis Eisenhower, il participa à la
Commission Warren d’enquête sur l’assassinat du Président Kennedy.
Philip Corso décrit ses activités entre 1961 et 1963, alors qu’il
dirige le service des « Foreign
Technology » au sein du département de Recherche et Développement
de l’armée américaine. Il affirme qu’il communiqua les rapports
scientifiques émis sur les débris de Roswell* aux industriels
partenaires de l’Armée (Bell Labs, IBM, Monsanto, General Electric,
Hugues Aircraft, etc.). C’est
ainsi qu’auraient été « découverts » le laser, la fibre
optique, le Kevlar, les puces informatiques, et le revêtement des avions
furtifs.
Il précise que l’IDS (Initiative Defense Strategique) ou bouclier
anti-missiles, plus que jamais au coeur de l’actualité ne serait pas
principalement dirigé contre l’URSS ou la Chine, mais contre
une éventuelle attaque extraterrestre.
3° - Une
explication
Nous partageons entièrement
l’analyse des faits expliquée par Jean Sider** :
- Selon cet auteur, l’incident de Roswell serait à relier à la tension
internationale qui s’était cristallisée lors des entretiens de Paris
en juin 1947, entre les occidentaux et l’URSS, tension qui fut à
l’origine de la « Guerre
froide » mais qui aurait pu éclater en guerre chaude, atomique...
« Ce même 2 juillet 1947 vers
19 heures, Mr Molotov, furieux, quitte la conférence tripartite de Paris
en claquant la porte, après avoir manifesté ses doutes sur les
intentions réelles des Etats-Unis. Son ton agressif et ses menaces
sous-jacentes sont considérés comme un avertissement. » J.S.1
p.52.
*
Les débris auraient été transportés en juillet 1947 à Wright Field,
une base de l’Ohio, commandée par le général Twining, celui-là même
qui rédigea un rapport sur les disques volants.
** « LE SECRET DES
ALIENS » Jean Sider.
Editions Ramuel.
page 6
- Selon Jean Sider, le crash de
Roswell serait une sorte d’avertissement destiné au gouvernement américain:
« Tard
dans la soirée du 4 juillet,
peu avant minuit,un objet volant non identifié, (peut-être même deux,
au cours d’une collision programmée...), s’écrase entre Corona et
Roswell. A noter que le fait, qu’un « vaisseau
extraterrestre » choisisse précisément le jour
de la fête nationale américaine pour s’écraser sur le sol des
Etats-Unis, qui plus est, non loin
de la seule base au monde à posséder des avions équipés pour larguer
une bombe atomique, ne peut, en aucun cas, relever du hasard. Il y a là
une sorte de message symbolique manifestement adressé aux autorités du
pays. »
- L’ampleur de la menace
fut parfaitement comprise puisque la
loi du 26 juillet 1947 créa un nouvel organigramme :
« Le Secrétaire à la Défense
fut chargé de coordonner les activités des Secrétaires à la Marine, à
l’Armée et à l’Aviation. Ce qui revient à dire que les
trois armées furent unifiées en temps de paix, alors qu’elles ne
l’étaient pas durant la guerre » (qui venait de s’achever.)
- Jean Sider conclut que
l’incident de Roswell serait le fait d’une « intelligence étrangère »
désireuse de :
« 1 - S’identifier,
aux yeux des autorités américaines, comme
étant d’origine extraterrestre.
2
- Suggérer dans l’esprit des militaires, l’éventualité d’une
menace potentielle d’invasion de créatures venues de l’espace.
3 - Inciter les américains à passer des accords secrets avec l’URSS
pour parer au danger constitué par l’éventuelle irruption dans notre
environnement planétaire d’envahisseurs extraterrestres.
4 - Annihiler
le processus d’une guerre entre les deux Grands qui pouvait se
transformer en troisième guerre mondiale, ce qui aurait été
catastrophique pour l’humanité. »
page 7
LA
DEMONSTRATION DE TEHERAN
(19
septembre 1976).
Dans le ciel de Téhéran (Iran)
eut lieu en 1976 une rencontre rapprochée entre un OVNI et deux avions
militaires qui l’ont pris successivement en chasse. Cette événement
extrêmement rare et premier du genre, a été rapporté dans le monde
entier sous le nom d’incident de Téhéran.
RAPPORT SECRET
TRANSMIS DE TEHERAN A LA D.I.A.
(Defense Intelligence Agency) à Washington :
Le télex a été adressé par
l’attaché US de la Défense en Iran, et retransmis par les autorités
militaires à 8 h 10 TU ; il est daté du 23 septembre 1976 à 6 h 30 TU.
Le Département d’Etat américain a dans un premier temps censuré ce télex
sous la raison que :
« Les portions biffées, en
accord avec le code... requièrent un maintien de classification car on
pourrait raisonnablement s’attendre à ce que leur
révélation non-autorisée cause un dommage à la sécurité nationale. »
Dans un deuxième temps, le message a été déclassifié
(après censure) par Thomas B. ROSS, Secrétaire Assistant du Département
de la Défense à Washington.
TRADUCTION
« A
- Vers 0 h du matin, le 19
septembre 1976, le...
(1
ligne censurée)
recevait
quatre appels téléphoniques de citoyens vivant dans la zone de SHEMIRAN
près de TEHERAN, disant qu’ils avaient vu d’étranges objets dans le
ciel. Quelques uns rapportaient avoir vu un objet en forme d’oiseau,
d’autres un hélicoptère
avec une lumière dessus. Il n’y avait pas d’hélicoptère en vol à
ce moment-là...
(1 ligne censurée)...
Après avoir dit aux citoyens que c’était seulement des étoiles et
avoir parlé à la tour de Mehrabad, il décida de regarder lui-même. Il
aperçut un objet dans le ciel, ressemblant à une étoile, plus gros et
plus brillant. Il décida de faire décoller un F4 de
Shahrokhi AFB pour examen.
B - A 1 h 30, le 19, le F4 décolla et se dirigea vers le point situé à
environ 40 milles nautiques (75 km) au nord de Teheran. A cause de sa
brillance, l’objet était aisément visible depuis une distance de 70
milles (120 km). Tandis que le F4
s’approchait de l’objet à une distance de 25 milles nautiques (46 km)
toute son instrumentation et ses communications (UHF et interphone) tombèrent
en panne. Il cessa alors l’interception et retourna vers Shahrokhi.
Dès que le F4 tourna le dos à l’objet, et ne
constitua ainsi plus un danger pour lui, l’instrumentation et les
communications de l’avion redevinrent normales. A 1 h 40, un second F4
fut envoyé, celui-ci acquit un accrochage de son radar de bord à 27
milles nautiques (50 km) de l’objet, droit devant et vers le haut, avec
le VC (vitesse d’approche) indiquant 150 NMPH (280 km/h). Tandis que la
distance avion/objet décroissait jusqu’à 25 milles nautiques (46 km),
l’objet s’éloigna à une vitesse qui était visible sur l’écran
radar, et se maintint à une
distance de 25 milles nautiques (46 km).
C
- La dimension de l’écho radar était comparable à celle d’un boeing
707 de ravitaillement en vol. La dimension visuelle de l’objet était
difficile à discerner à cause de sa brillance
intense. La lumière qu’il émettait était celle des lampes flash,
arrangées selon un rectangle, alternativement de couleurs
bleu vert rouge et orange. La séquence des lumières était si rapide
que toutes les couleurs pouvaient être observées à la fois.
L’objet et le F4 poursuivant continuaient à se diriger vers le sud de Téhéran
quand un autre objet brillamment
illuminé, estimé être d’une dimension apparente égale à la
moitié ou au tiers de celle de la lune, sortit
de l’objet précédent. Ce
second objet se dirigea tout droit vers le F4 à une très grande vitesse.
Le pilote tenta de lancer un missile AIM-9 sur cet objet mais à cet
instant, le panneau de contrôle
d’armes tomba en panne et il perdit aussi toutes communications (UHF et
interphone).
A ce moment, le pilote commença un virage et un piqué à accélération
négative pour s’éloigner. Pendant qu’il virait, l’objet
se maintenait dans sa trace à une distance qui lui parut être de 3
à 4 milles nautiques (6 à 7 km). Tandis qu’il continuait son virage
pour s’éloigner du premier objet, le
second se dirigea vers l’intérieur de son virage puis rejoignit le premier objet d’une manière parfaite.
D - Peu de temps après que le second objet ait rejoint le premier, un autre objet parut sortir de l’autre côté de l’ovni,
se dirigeant verticalement vers le sol, à grande vitesse. L’équipage
du F4, qui avait retrouvé le
fonctionnement de ses communications et du panneau de contrôle d’armes,
regardait l’objet approcher du sol, s’attendant à une forte
explosion. L’objet parut se poser
doucement sur le sol et émit une lumière très brillante qui illumina
une zone de 2 à 3 km environ.
Les membres de l’équipage descendirent de leur altitude de 26000 ft
(8000 m) jusqu’à 15000 ft (4500 m) et continuèrent à observer et à
repérer la position de l’objet. Ils avaient quelque difficulté à
ajuster leur vision nocturne pour l’atterrissage, aussi c’est
seulement après avoir tourné autour de Mehrabad plusieurs
fois, qu’ils finirent par atterrir en longue finale. Il y avait
pas mal d’interférences sur la UHF et chaque fois qu’ils traversaient
l’azimut magnétique 150° compté à partir de Mehrabad, ils perdaient
leurs communications (UHF et interphone) et l’INS (Instrument Navigation
System) fluctuait de 30 à 50°. L’un des avions commerciaux qui
approchait Mehrabad à ce moment-là eut aussi une panne de communications
dans la même région mais ne rapporta pas avoir observé quelque chose.
Tandis que le F4 était en longue finale d’approche, l’équipage nota
un autre objet en forme de cylindre (environ la taille d’un avion T Bird
à 1000 ft (3000 d‘altitude) avec
des lumières brillantes permanentes
à chaque extrémité et une lumière à éclats au centre. Quand
la tour fut questionnée à ce sujet, elle dit qu’elle n’avait pas de
trafic dans cette zone. Pendant tout le temps que l’objet survola le F4,
la tour ne le vit pas, mais l’observa aussitôt après que le pilote lui
eut dit de regarder entre les montagnes et
la raffinerie.
E - Pendant la journée, l’équipage
du F4 fut emmené dans un hélicoptère sur les lieux où l’objet avait
apparemment atterri. Rien ne fut
remarqué au point où ils pensaient que l’objet s’était posé (le
lit d’un lac desséché) mais, tandis qu’ils s’éloignaient vers
l’ouest de cette zone, ils reçurent un signal bip-bip. Au point où ce
signal était le plus intense, il y avait une petite maison avec un
jardin. Ils atterrirent et demandèrent aux gens de la maison s’ils
avaient remarqué quelque chose d’anormal la nuit précédente. Les gens
parlèrent d’un grand bruit et d’une lumière très brillante, comme
l’éclair.
L’avion et la zone où l’on croit que l’objet s’est posé sont
examinés pour une possible radiation...
(2,5 lignes censurées)...
des
informations complémentaires seront adressées quand elles seront
disponibles. »
page 8
Aussi, après avoir effectué sa
propre enquête, le GEPAN concluait en 1978 :
« L’événement relaté dans
FRANCE-SOIR du 29.09.76. apparaît présenté par le journal
d’une manière qui n’est pas parfaitement exacte. Néanmoins, les
documents officiels américains correspondant à cet événement, bien
qu’ils aient été censurés, montrent
sans ambiguité que ces événements se sont effectivement déroulés
et qu’ils ont impliqué des interactions entre deux avions militaires
iraniens et un OVNI qu’on ne peut raisonnablement pas attribuer au
hasard.
Tout semble s’être passé comme
si l’objet volant inconnu observé avait exercé une action fort
intelligente de dissuasion sur deux avions, mais sans montrer de véritable
agressivité.
Même si nous nous trompons dans notre estimation de la situation, il y
a là matière à réfléchir. »
page
9
UN
RAPPORT DU
GEPAN
Le GEPAN (Groupe d’Etudes des Phénomènes
Aérospatiaux Non-identifiés), créé le 1er mai 1977 a été mis en
place par le C.N.E.S. (Centre National d’Etudes Spatiales) pour
collecter et analyser de la façon la plus rationnelle possible les
observations de phénomènes OVNI faites par le public.
Le GEPAN était composé d’une centaine de collaborateurs à temps
partiel provenant de différentes disciplines scientifiques, ingénieurs
du CNES, physiciens du CNRS, spécialistes des Sciences Humaines et coiffé
par un conseil scientifique de huit membres ; il était dirigé par Claude
Poher, fils d’Alain Poher ancien Président du Sénat. Depuis 1988, le
GEPAN a été remplaçé par le SEPRA dont le directeur actuel est
Monsieur Jean-Jacques Velasco.
Les conclusions auxquelles sont arrivés les travaux du GEPAN sont
identiques à celles du général Twining, responsable de l’Air Material
Command, publiées en 1947 dans son rapport sur les « disques
volants » :
« 1° - Le
phénomène rapporté est quelque chose de réel, il ne s’agit pas de
visions ou d’imagination.
2°
- Il existe des objets ayant la forme d’un disque et dont la dimension
est comparable à celle de nos avions.
3 - Il est possible que certaines observations correspondent à des phénomènes
naturels.
4° - Les vitesses ascensionnelles très élevées observées, la
manoeuvrabilité et les manoeuvres de fuite, lorsque les disques sont détectés,
laissent supposer qu’ils sont
pilotés ou télécommandés.
5° - La
plupart des témoins décrivent des objets à surface métallique, de
forme circulaire ou elliptique, avec la partie supérieure en forme de dôme,
volant sans bruit en formation de trois à neuf objets. »
Dans un rapport d’activité
datant de 1978, le GEPAN concluait :
« Compte tenu des éléments
que nous avons recueillis auprès des observateurs, sur les lieux mêmes
de leur observation, nous avons la
conviction qu’un phénomène matériel est à l’origine de la
quasi totalité des observations et constatons que la description de ces
phénomènes s’apparente, en particulier dans les cas suivants :
GONDRECOURT, BIZE, LUCON, BOLAZEC, CUSSAC et SAUVIGNY, à celle d’une
machine volante, dont la provenance, les modes de sustentation et/ou de
propulsion sont totalement étrangers à nos connaissances. »
« Nous estimons que le phénomène
est relativement rare. Sa localisation spatio-temporelle imprédictible
actuellement et son comportement de fuite presque systématique (en
tout cas, sa fugacité) le rendent extrêmement difficile à étudier
autrement que par l’intermédiaire du témoignage d’observateurs répartis
de façon aléatoire parmi la population. »
« En conséquence, nous
recommandons qu’une nouvelle phase de travail soit abordée, celle de
soutien des études théoriques de laboratoire, modestes mais
significatives, s’appuyant sur une collecte des données auprès des témoins,
basées sur l’hypothèse
provisoire de la circulation de véhicules de provenance, de technologie,
voire de physique encore inconnues. C’est là un objectif qui,
s’il n’est pas parfaitement justifié par une crédibilité
scientifique absolue des hypothèses est néanmoins assez
lourd de conséquences pour l’humanité pour qu’il soit entrepris
malgré un certain risque d’échec. »
page 10
LE
RAPPORT DU
COMETA
Le COMETA fondé en 1995
est dirigé par le général de l’armée de l’Air Denis Letty, et
composé de membres qui ont (eu)
dans leur carrière des responsabilités importantes dans la défense,
l’industrie, l’enseignement, la recherche, ou diverses administrations
centrales.
Le parrain de ce comité est le général
Norlain, ancien directeur de l’Institut Des Hautes Etudes de Défense
Nationale (IDHEDN).
Selon le général Norlain (préface),
le rapport destiné aux plus hautes autorités de l’Etat et qui fait le
point sur le phénomène OVNI, vingt ans après le rapport du GEPAN
(1978), ouvre la voie à « une
indispensable coopération internationale... et aura bien servi la nation et, peut-être, l’Humanité. »
En ce sens, ce rapport fait par
des scientifiques et des militaires, jette un cri d’alarme et met les
politiques au-devant de leurs responsabilités.
Le Prof. André Lebeau, ancien président du CNES
n’écrit-il pas en préambule :
« Un
examen dépassionné de la situation devrait pourtant conduire ceux qui
croient en la valeur de la méthode scientifique à considérer que
l’existence même d’un puissant environnement irrationnel est une
raison supplémentaire d’appliquer les préceptes de cette méthode à
la question des OVNI. »
En juillet
1998, l’hebdomadaire français « V.S.D. » a publié un numéro spécial de 90 pages, entièrement consacré aux
OVNI et présenté par le COMETA* comme
:
« Rapport confidentiel remis au Président
de la République et au Premier Ministre »
ANALYSE
DES DONNEES
« Jusqu’à
présent aucun accident, et a fortiori aucun
acte hostile, n’a eu pour origine certaine, du moins officiellement,
un OVNI ; aucune menace OVNI ne s’est fait sentir en France, même si les manoeuvres d’intimidation ont été avérées.
Cependant, de nombreuses manifestations observées par des témoins dignes de foi pourraient être le fait d’engins
d’origine extraterrestre. En effet, s’il s’agissait d’engins
terrestres, ceux-ci ne pourraient être qu’américains et, malgré
toutes les précautions de secret, cela se serait su. Le premier prototype
d’avion furtif a volé fin 1977, l’existence d’avions furtifs a été
connue environ dix ans après, en 1988. Or les observations crédibles et
avérées d’OVNI débutent en 1944.
Certes, ce
sujet suscite encore parfois un scepticisme amusé, sinon une certaine méfiance
à l’égard de ceux qui l’évoquent sérieusement, mais en l’absence
d’explications des phénomènes observés, l’hypothèse d’une
origine extraterrestre ne peut plus être écartée. Nous nous proposons
d’étudier, les conséquences, sur les plans stratégique, scientifique,
politique, religieux et médiatique, de cette hypothèse
compatible avec les connaissances scientifiques actuelles. »
TENTATIVE
D’EXPLICATION DES MOTIVATIONS DES VISITEURS
- Pour nous sauver d’un conflit
nucléaire :
« Il
se pourrait qu’ils aient, dès avant 1947, et après, conçu des
craintes sur l’avenir de la Terre, menaçée dans sa survie par des
risques de conflagration atomique. Leurs influences ont pu être accompagnées
de démonstrations appropriées :
-
Survols de bases de missiles nucléaires.
-
Manoeuvres d’intimidation contre des avions comme à Luxeuil et Téhéran.
- Paralysie de
témoins, arrêt des moteurs, extinction des lumières. »
* Bien que ce N° spécial soit
paru au moment des départs en vacances, il est totalement épuisé (M
1891-9907 H).
page 11
- Pour nous dissuader l’aller
dans l’espace :
« Les
progrès réalisés dans la conquête de l’espace et dans le développement
du nucléaire pourraient les inquiéter. Ne serait-il pas logique de
penser que ces civilisations extraterrestres auraient établi des
stations, voire des colonies, dans la ceinture des astéroïdes et
pourquoi pas des relais sur la lune ? ».
- Nous informer de leur existence
:
« Plutôt
que nous observer, il semble qu’ils veuillent se montrer à nous et nous
acclimater progressivement à l’idée de leur existence. »
A
QUOI FAUDRAIT-IL
S’ATTENDRE ?
- Plusieurs scénarios sont
envisagés par le COMETA :
« -
Apparition d’OVNI et volonté extraterrestre d’établir un contact
officiel et pacifique.
-
Invasion (peu probable car elle
aurait pu avoir lieu avant la découverte de l’atome).
-
Manipulation ou désinformation délibérée en vue de déstabiliser
d’autres Etats.
- Découverte
fortuite ou non d’une microbase ou d’une base sur un point
quelconque du territoire ou de l’Europe. »
PRINCIPE
DE PRECAUTION
Tant que l’Humanité ne sera pas
fixée sur leur nature, leur origine et leurs intentions, il y va de la
survie de l’espèce de prendre un certain nombre de précautions :
- Sensibiliser les témoins
potentiels (pilotes, contrôleurs du ciel, militaires, etc.) :
« Le
nombre de témoignages et la qualité des témoins interdisent d’éluder
le phénomène, aussi le personnel de l’aéronautique, et plus particulièrement
celui de la défense, doit-il être sensibilisé et préparé à faire
face... A titre d’exemple, le
nombre de PAN-D observées par des pilotes ou des contrôleurs aériens
s’élève depuis 1940 à plus de 500 dans le monde. »
- Organiser la collecte des données
:
« Informer
revient tout d’abord à faire admettre la possibilité de la présence
dans notre ciel d’engins extraterrestres. Il faut vaincre la peur du
ridicule... A titre d’exemple, les
compagnies aériennes, Air France en particulier, ont
mis sur pied, à l’intention des équipages, une fiche d’informations
systématique périodiquement mis à jour. »
Aux Etats-Unis et au Canada, la réglementation
confidentielle « JANAP
146 » oblige les
pilotes témoins de phénomènes ovnis à suivre une procédure de
transmission immédiate à destination des services de défense aérienne.
J.Gabriel Greslé, ancien pilote
de chasse à l’US Air Force et ex commandant de bord à Air France, qui
a été deux fois témoin d’observations d’OVNI en 1968 au Brésil et
en 1984 au-dessus de la ville de Détroit (USA), a écrit plusieurs livres
sur le sujet, parus aux éditions Ramsay et Trédaniel.
Jean
Gabriel Greslé fut le premier chercheur français à révéler le survol
d’installations militaires stratégiques (bombes atomiques) américaines
en 1947 et 1950.
Il cite le rapport du Prof.
Lincoln LaPaz qui décrit : « des
ovnis survolant parfois à basse altitude, impunément et comme par défi,
les sites les plus sensibles (Los Alamos, Kirtland, Sandia, Camp Hood,
Killeen, Holloman et Roswell) ». Le
message est clair !
- Favoriser la recherche dans les
domaines de pointe :
Il préconise une veille
technologique dans les domaines de la propulsion de pointe, comme par
exemple la magnétohydrodynamique (M.H.D.). Les personnes intéressées
pourront trouver leur bonheur sur le site internet de Jean-Pierre Petit.
La propulsion par anti-matière
dans l’espace solaire et interstellaire est une voie très explorée de
nos jours.
L’exobiologie
et la xénologie sont pour nous des domaines de recherche trop négligés,
qui donneront la solution de nos angoisses. (NdA).
- Accélérer l’exploration du
système solaire :
Ainsi, la NASA a signé un contrat
avec l’astronome Papagiannis « pour détecter, dans la ceinture d’astéroïdes située entre les
planètes Mars et Jupiter, d’éventuelles cités spatiales. »
C’est là une preuve de la psychose engendrée chez nos dirigeants et de
leur fausse certitude d’une origine extraterrestre des ovnis. (NdA).
- Promouvoir une coopération
internationale pour partager les informations (et technologie).
« Il
serait souhaitable que les Etats européens et la Commission de l’Union
Européenne mènent toutes
recherches et entreprennent auprès
des Etats-Unis des démarches diplomatiques, en exerçant les
pressions utiles, pour élucider cette question capitale, qui doit
s’inscrire dans le cadre des alliances politiques et stratégiques. »
- Instaurer une concertation
internationale pour déjouer
des tentatives de déstabilisation :
« Le
phénomène OVNI est déjà parmi nous... Il comporte, en particulier, des
risques de manipulations déstabilisatrices aux plans médiatique,
psychologique, culturel et religieux : terreur panique, guerre des
mondes, psychoses créées par des sectes ou des lobbies, etc. »
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RENCONTRE
DU TROISIEME
TYPE
Pour tenter d’expliquer
l’attitude d’éventuels extraterrestres vis à vis de l’Humanité,
il a été tout simplement imaginé d’inverser les rôles et de prévoir
ce que feraient des explorateurs terriens à l’approche d’un monde
peuplé d’êtres pensants et moins évolués :
- Après une étude à distance
des ressources et des milieux de la planète, il conviendrait de saisir la
chance que représenterait l’étude « in vivo » de
civilisations différentes :
« Quelle
plus belle expérience scientifique - lato sensu - que celle de disposer
de populations, plus ou moins civilisées, stagnantes ou en évolution, en
paix ou en guerre, organisées de cent manières différentes, dotées
sans doute de langues étrangères les unes aux autres, considérant
chacune à sa façon l’organisation de leurs cités terrestres et célestes. »
- Dans un deuxième temps, il
conviendrait d’établir des contacts avec les indigènes tout en gardant
à l’esprit leurs implications politiques, psychologiques et religieuses
: « si le mode opératoire furtif et masqué était retenu en premier lieu,
il ne pourrait - du moins en l’état actuel de nos techniques - passer,
malgré tout, totalement inaperçu des populations indigènes ».
- L’apparition ou
l’atterrissage de nos engins habités ou téléguidés pourrait être
considérée comme autant de phénomènes naturels, divins,
extraordinaires, merveilleux, aberrants ou diaboliques... De telles
apparitions auraient certainement un impact créateur de nature à
modifier pour quelque temps les conceptions politiques et religieuses
locales :
« L’apparition
d’astronautes ou de robots bioniques serait de nature à impressionner
durablement les esprits, à infléchir les religions, à en inspirer de
nouvelles ou à être à l’origine de
mythes fondateurs ».
- Un contact aurait pour conséquence
des risques politiques sérieux : « tel
monarque ou chef d’Etat pourrait se proclamer l’interprète exclusif
et privilégié de ces manifestations extraordinaires et se prétendre
dieu-roi ou roi-dieu aux yeux de ses sujets. »
- Des interventions pourraient être
pratiquées sur le milieu ou les individus :
« Ainsi
il pourrait apparaître souhaitable d’apporter, par touches, des
modifications au milieu naturel et à l’écosystème, en pratiquant par
exemple, des ensemencements ou des implantations de végétaux et
d’organismes sélectionnés qui feraient défaut. »
« Le
cours des civilisations indigènes pourrait être progressivement modifié
en influant,... sur les qualités ou les défauts d’individus choisis, en
accentuant leurs dispositions intellectuelles, morales, et leurs
connaissances scientifiques ou en provoquant des mutations génétiques... »
Aussi, le COMETA se pose la
question de savoir si l’histoire de l’Humanité n’aurait pas été
influencée par de tels contacts ?
« Rien
n’interdirait, toute révérence
gardée, de songer à différents épisodes de l’Ancien Testament,
aux conditions dans lesquelles furent instituées les loi de Manou ou
encore donné le Coran. Les influences renvoient à un certain nombre d’énigmes
de l’Histoire, dont, peut-être, l’apparition concomitante des grandes
civilisations de l’Indus, de la Mésopotamie et de l’Egypte (villes,
architecture, écriture, calendrier, astronomie, etc.) Elles font également
penser à l’extraordinaire carte de l’Antarctique, dessinée quasi
libre de glaces, par le français Oronte Finé, en 1531, près de trois siècles
avant la découverte de ce continent en 1820. »
- Avant de se manifester
ouvertement et à grande échelle, « il
conviendrait au préalable, d’acclimater dans l’esprit de ces
populations l’idée de l’existence probable de civilisations
extraterrestres (romans de science-fiction, films, bandes dessinées, jeux
vidéo, publicités, climat psychologique favorable, sectes... ».
L’avancement des sciences
pourrait être favorisé en inculquant des concepts nouveaux à des
membres sélectionnés du corps scientifique ou bien « à
la faveur d’accidents fortuits ou provoqués de nos engins spatiaux. »
- Une prise de contact pourrait être
établie soit avec des individus sélectionnés,
ou bien au plus haut niveau des Etats ou de certains d’entre eux, et
demeurer si possible secret.
La nécessité d’apparaître
comme pacifiques imposera des précautions pour ménager les sentiments
des populations :
« Dans
tous les cas de figure, nous devrions rencontrer des idolâtres, des
thuriféraires et des hérodiens, qui, par certitude millénariste, crédulité,
pragmatisme ou intérêt, nous accueilleront avec enthousiasme comme des
sauveurs. »
A l’opposé, il faudrait
envisager « la création de
mouvements de défense et de résistance à l’envahisseur. »
C’est
pourquoi le COMETA soupçonne ouvertement les Etats-Unis :
« Il
est plausible que l’on puisse attribuer aux Etats-Unis des contacts
privilégiés. Mais rien ne contredit le possible établissement
d’autres contacts avec certains pays européens ou encore la Russie, la
Chine, le Japon, d’autres peut-être... »
page 13
CONCLUSIONS
ET RECOMMANDATIONS
Les témoignages des pilotes
militaires français (Orange 1951, Tours 1976, Luxeuil 1977) laissent
supposer que les « objets »
soient pilotés ou télécommandés : « Tous
les pilotes ont confirmé que c’est l’ovni
qui semblait faire mouvement vers eux, et non l’inverse. »
Le rapport concernant
l’observation de Trans-en-Provence
montre que l’ovni d’aspect métallique et de forme circulaire a
atterri, puis décollé silencieusement dans un espace très réduit, à
très faible distance d’un mur de 2,50 mètres de hauteur. « Aucun
aéronef moderne n’est capable de ces évolutions silencieuses, ni de
cette précision d’atterrissage. » rajoute le COMETA. (Un oiseau serait capable de le faire...NdA).
« Il
se dégage de cet ensemble de faits une conclusion forte : certains PAN-D
paraissent bien être des machines
volantes totalement inconnues, aux performances exceptionnelles, guidées
par une intelligence naturelle ou artificielle. »
« Les
rapports d’expertises démontrent la réalité physique quasi certaine
d’objets volants totalement inconnus, aux performances de vol et au
silence remarquables, apparemment mus par des intelligences. »
« Une
seule hypothèse rend suffisamment compte des faits et ne fait appel, pour
l’essentiel, qu’à la science d’aujourd’hui : c’est celle de visiteurs extraterrestres... »
« L’hypothèse
extraterrestre (H.E.T.) est de loin la meilleure hypothèse scientifique
;
elle n’est
certes pas prouvée de façon catégorique, mais il existe en sa faveur
de fortes présomptions, et si
elle est exacte, elle est grosse de conséquences. »
page 14
ILS
SONT PARMI
NOUS
A l’avant-dernière page de son
rapport (p.83), le COMETA cite la fin d’un discours prononcé le 21
septembre 1987 par le Président Reagan devant la tribune que fut la 42ème
Assemblée Générale des Nations Unies :
« Obsédés
par les antagonismes du moment, nous oublions souvent à quel point tous
les membres de l’humanité sont liés. Peut-être avons-nous besoin
d’une menace extérieure universelle pour reconnaître ce lien. Je pense
que nos différences s’évanouiraient vite si nous étions confrontés
à une menace étrangère à notre monde. »
Ce discours qui appelle à
l’union de toutes les nations de la terre face à une éventuelle menace
étrangère à la planète est d’une grande portée politique ; prononcé
devant les représentants de toutes les nations, par le Président du pays
le plus puissant du monde, il doit être pris très au sérieux.
Ce discours est en soi assez éloquent,
mais il y a plus grave du
fait qu’il a été tronqué par
le COMETA ; en réalité, le Président Reagan a ajouté :
« Encore que, je pose la question,
cette force étrangère n’est-elle pas déjà parmi nous ? »
En langage diplomatique, le Président
des Etats-Unis qui est le personnage le mieux renseigné du Monde, affirme* que des extraterrestres sont déjà parmi nous et incognito.
* Le point d’interrogation n’étant
placé que pour éviter une panique générale et des révolutions
sociales amenant l’Anarchie.
La censure faite par le COMETA est un aveu de
l’importance capitale de cette information.
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