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©Ulpian dimanche 21 juin 2004
« LA JANGADA » Dans l’un de ses ouvrages consacrés à Jules Verne et Maurice Leblanc, l’auteur Alexandra Schreyer*(1) rapporte (Tome2 , page 192) que le Secret caché dans l’œuvre immense de Jules Verne*(2) se trouverait dans « LA JANGADA », roman publié en 1881. : « J’ai dissimulé le chiffre dans le texte de la JANGADA » Mais, page 261 du roman, Jules Verne recommande de s’inspirer des techniques de déchiffrage d’Edgard Poë (« Le scarabée d’or ») - L’action se passe au Brésil, sur le fleuve Amazone. Une famille embarque sur un immense radeau « La Jangada », véritable arche de Noé, vers une destination inconnue. Le chef de famille Garral , dont le nom fait penser au Graal, se nomme en réalité Joam Dacosta et est recherché depuis des années pour un meurtre qu’il n’a pas commis. Seul un parchemin codé qui fait l’objet de la trame du livre, et jusque là indéchiffrable permettra de livrer le nom du véritable meurtrier et de le disculper. - Le lecteur apprend au début du livre qu’un dénommé Torrès a reçu des mains du meurtrier le document secret, page 5 : « Le digne compagnon de la milice qui m’a remis ce document précieux, qui m’en a donné le secret. » -
Torrès a l’intention de monnayer très cher le document auprès de Garral,
page 5 : - La
famille accompagnée d’une domestique appelée Lina, car souple comme une
liane, et de Barbado, parvient le 28 juillet en vue de la ville
d’Ega…tandis que Torrès se fait tuer en duel par Bénito, le fils de
Dacosta. A la
fin du roman, le document est déchiffré et Dacosta innocenté ; le nom du
vrai coupable apparaît ; c’est Ortega… « A une lettre près, disait-il, Lina, liane, n’est-ce pas la même chose ? » - Le « vrai
nom des vrais personnages » apparaît donc comme celui d’ORT EGA
dont les trois premières lettres sont les mêmes que les trois lettres
substituées sur la tombe de Marie de Nègre, à RLC … rajoutées devant le
nom de la ville d’Ega abordée par la Jangada. . En
fait, Jules Verne a raison de nous inviter à chercher l’inspiration chez
Edgard Poë, mais la réponse se trouve dans une autre nouvelle tout aussi
célèbre que « Le scarabée d’or » et qui est « La lettre volée ». A RLC,
nous avons démontré que l’abbé Saunière avait lu la nouvelle d’Edgar Poë,
puisque la clef du « Grand Secret » se trouve cachée dans la barbe taillée
en W (M renversé) c'est-à-dire « sous le nez » de Jésus et
Jean-le-Baptiste, face à l’entrée de l’église, c'est-à-dire plus
précisément « au nez et à la barbe du visiteur »… Mais
plus précisément, et pour employer la langue des oiseaux, la lettre volée
ne serait-elle pas aussi la lettre manquante ? La clef du secret de RLC, fut connue de Jules Verne et dissimulée dans la Jangada ; c’est l’écriture D.M. des Centuries, et le M vaut Mille, ainsi que nous avons pu le démontrer par ailleurs de mille et une façons. Mais Nostradamus ne l’a-t-il pas lui-même suggéré ? Les « CENTURIES » étant au nombre de 10 et contenant chacune 100 quatrains (sauf la septième qui en a perdu pour les besoins de la cause), Nostradamus ne se présente-t-il pas de la façon la plus simple, la plus évidente et irrécusable, comme l’auteur de « l’escriture des Mille » ou des M ?
*(1)
« JULES VERNE ET ARSENE LUPIN » - Alexandra Schreyer - Editions Ramuel
(1999). |
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