1° - La carte IGN

Une carte IGN de la région est l’outil indispensable pour celui qui se met en quête des secrets de Rennes-le-Chateau ; la règle, le compas et le rapporteur seront ses instruments de navigation et Alcor sa bonne étoile...

 « Nul n’entre ici, s’il n’est géomètre ». Devise pythagoricienne.

 N.B. Carte IGN 2347 OT : QUILLAN Alet-les-Bains. (1:25000. 1 cm = 250 m).

2° - Les tableaux

Les oeuvres de plusieurs peintres sont associées au secret de Rennes-le-Chateau et principalement celles de Guerchin, Poussin, Delacroix, Signol et Ingres...

 « Les bergers d’Arcadie »

Delacroix

Ingres (Oedipe résout l'énigme)

3° - Les églises
Les églises sont des monuments sacrés préservés en principe de la folie destructrice des hommes ; Temples de la Foi, ne seraient-elles pas le lieu idéal, pour transmettre depuis les temps les plus reculés, des messages cachés ?
Aux deux extrémités de l’ancien méridien zéro, l’église Saint Sulpice à Paris, et l’église de Rennes-le-Chateau dans l’Aude, sont les gardiens du Grand Secret.

Cliquez Eglise Saint Sulpice (en construction)

Cliquez Eglise Rennes-le-Château (www.rennes-le-chateau.com)

4° - Le pilier wisigothique
En 1891 l’abbé Saunière fit placer en face du porche de son église l’un des deux piliers qui soutenaient l’ancien maître-autel.
Il existe une tradition selon laquelle l’abbé aurait trouvé des parchemins à l’intérieur du pilier exposé, mais cela est inexact.

5° - Le livre de l’abbé Boudet
En 1886, l’abbé Boudet, curé de Rennes-les-Bains, fit paraître :

« LA VRAIE LANGUE CELTIQUE et Le Cromleck de Rennes-les-Bains »

 Ce livre, ainsi que l’abbé le confie à plusieurs reprises dans le texte et par la représentation d’un livre fermé sur sa tombe, est un livre hermétique, c’est à dire codé.

6° - Les deux parchemins
Dans son premier livre se rapportant à l’affaire de Rennes-le-Chateau et paru en 1972  :
« LE TRESOR MAUDIT DE RENNES-LE-CHATEAU », Gérard de Sède a reproduit deux parchemins dont la copie lui aurait été remise par Noël Corbu héritier de Marie Denarnaud, qui lui-même les aurait reçus de Pierre Plantard.
Par suite d’informations contradictoires, un grand discrédit a frappé ces deux parchemins dont personne n’a vu les originaux et ne peut attester l’authenticité.

7° - Les deux pierres tombales
Lorsque l’abbé Saunière arriva à Rennes-le-Chateau en 1885, il existait dans le cimetière une tombe de Dame Marie de Nègre d’Hautpoul de Blanchefort qui serait décédée le 17 janvier 1781.
C’est l’abbé Bigou, son confesseur et curé de Rennes-le-Chateau, qui aurait fait exécuter son épitaphe codée, entre 1781 et 1783.
La dalle horizontale de la tombe proviendrait des Pontils, lieu-dit qui se trouve non loin de la pierre dressée ou menhir de Peyrolles.