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rennes le chateau, la revelation
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©© P.Silvain, www.rennes-le-chateau-la-revelation.com mardi 03 juillet 2001

« LE SERPENT ROUGE » ESSAI D’INTERPRETATION

Selon Patrick FERTE (p.471), « Aer red » = serpent coureur, pourrait désigner l’Aude (rivière).

 

« LE SERPENT ROUGE » est un opuscule de treize pages dactylographiées, déposé à la BN le 15 février 1967 (enregistré le 20 mars sous la côte 4° L7K 50590), et cité par Gérard de Sède dans sa bibliographie du « TRESOR MAUDIT » paru la même année.

Selon les apparences, le texte serait co-signé par trois auteurs, Louis Saint-Maxent, Gérard de Koker et P. Feugère qui sont réellement morts suicidés par pendaison dans un laps de temps de 24 heures et dans trois endroits différents du même département.

Selon Franck Marie qui a fait une enquête serrée (« RENNES-LE-CHATEAU : ETUDE CRITIQUE » p.192-199, éditions SRES 1978), cet opuscule aurait été tapé sur la même machine à écrire que les apocryphes de Rennes-le-Château dus à Monsieur Pierre Plantard, ancien maître du Prieuré de Sion (Ass. Loi 1901 créée en 1956).

Le but de la présente étude n’est pas d’enquêter sur la mort suspecte des trois personnages cités et de leur implication ou pas dans l’énigme de Rennes-le-Château ; le lecteur trouvera réponse à ces questions dans « ARSENE LUPIN SUPERIEUR INCONNU » p.410 à 413 et « L’ENIGME SACREE » p.98 à 100.

 

VERSEAU
« Comme ils sont étranges les manuscrits de cet Ami, grand voyageur de l’inconnu ; ils me sont parvenus séparément, et pourtant ils forment un tout pour celui qui sait que les couleurs de l’arc-en-ciel donnent l’unité blanche, ou pour l’Artiste qui sous son pinceau, fait des six teintes de sa palette magique jaillir le noir. »

Il s’agit des oeuvres de Jules Verne qui explora le monde à travers les airs (« LE TOUR DU MONDE EN 80 JOURS »), l’Amazonie (« LA JANGADA »), les entrailles de la terre (« VOYAGE AU CENTRE DE LA TERRE »), le fond des mers et les glaces (« VINGT MILLE LIEUES SOUS LES MERS »), mais qui se rendit aussi sur la lune (« DE LA TERRE A LA LUNE »).
L’auteur invite à relire attentivement chaque livre , indiquant qu’ils sont codés et contiennent chacun les pièces d’un puzzle qu’il faut assembler pour découvrir un secret... Il rappelle que les couleurs sont complémentaires dans un roman qui se situe aux Etats-Unis, mais relève l’importance du blanc et du noir qui représentent la dualité de la nature et l’antagonisme du Bien et du Mal. Peut-être même est-il aussi suggéré d’étudier « LE TRAITE DES COULEURS » de l’initié Goethe...

 

POISSONS
« Cet Ami, comment vous le présenter ? Son nom demeura un mystère, mais son nombre est celui d’un sceau célèbre. Comment vous le décrire ? Peut-être comme le nautonnier de l’arche impérissable, impassible comme une colonne sur son roc blanc, scrutant vers le midi, au-delà du roc noir. »

Cet ami mystérieux est « Jules Verne » dont le nombre du nom (67 + 64 = 131) est le même que celui de « Roi Salomon » (42 + 89 = 131).

A B C D E F G H I J K L M
1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 13
N O P Q R S T U V W X Y Z
14 15 16 17 18 19 20 21 22 23 24 25 26

 

J U L E S V E R N E = R O I S A L O M O N
10 21 12 5 19 22 5 18 14 5 = 18 15 9 19 1 12 15 13 15 14

131 = 131

 

Jules Verne, auteur des « VOYAGES EXTRAORDINAIRES » fut par la pensée le plus grand voyageur de tous les temps. Son héros luciférien, le capitaine Némo (qui n’a pas de nom) conquit le pôle nord et de son blanc rocher (iceberg) regardait vers le midi. Comme lui, Jules Verne est le grand nautonnier, deux fois argonaute car il nous guide vers la toison d’or et qu’il faut comprendre argot-naute ou voyageur de l’argot, son oeuvre étant codée. L’auteur nous invite à le suivre le long du méridien zéro, puis à regarder du roc blanc vers le roc noir dans la direction de l’Arche d’Alliance impérissable. Jules Verne n’écrivit-il pas dans l’une de ses correspondances : « Où pôle il y a, vers né trouvera », ce savant jeu de mots sur son nom suggérant le secret de l’entrée de la grotte d’Arques...

 

BELIER
« Dans mon pélerinage éprouvant, je tentais de me frayer à l’épée une voie à travers la végétation inextricable des bois, je voulais parvenir à la demeure de la BELLE endormie en qui certains poètes voient la REINE d’un royaume disparu. Au désespoir de retrouver le chemin, les parchemins de cet Ami furent pour moi le fil d’Ariane. »

« La BELLE endormie » au fond d’un bois inextricable est la « Belle au bois dormant » du conte de Charles Perrault. L’auteur nous plonge d’emblée dans le monde des fées dont les pouvoirs magiques exaucent les pensées, comme la Pierre Philosophale qui est aussi le Graal.
Cette « belle endormie » cachée derrière le voile de la forêt comme Isis derrière son voile ou l’Arche d’Alliance dans le Saint des Saints pourrait être celle d’un royaume disparu, comme Antinéa reine de l’Atlantide dans le roman de Pierre Benoît.
Les parchemins disséminés dans « LES VOYAGES EXTRAORDINAIRES » de Jules Verne sont un moyen sûr, une fois décodés, de retrouver son chemin.

 

TAUREAU
« Grâce à lui, désormais à pas mesurés et d’un oeil sûr, je puis découvrir les soixante-quatre pierres dispersées du cube parfait, que les Frères de la BELLE du bois noir échappant à la poursuite des usurpateurs, avaient semées en route quant ils s’enfuirent du Fort Blanc. »

L’auteur invite à rassembler et découvrir les 64 pierres dispersées, autant d’indices cachés dans les 64 livres (pas un de plus ou de moins) qu’a nécessairement écrit Jules Verne. 64 représente le nombre de cases d’un échiquier et celui des cachettes décrites dans le rouleau de cuivre de Qmran, mais aussi un cube parfait de 4 cases de côté (4x4x4) évoquant le tétractys « 153 », valeur cachée de 17 qui est l’une des clefs du secret. Les « Frères de la Belle » pourraient être les Templiers qui gardaient l’Arche.

 

GEMEAUX
« Rassembler les pierres éparses, oeuvrer de l’équerre et du compas pour les remettre en ordre régulier, chercher la ligne du méridien en allant de l’Orient à l’Occident, puis regardant du Midi au Nord, enfin en tous sens pour obtenir la solution cherchée, faisant station devant les quatorze pierres marquées d’une croix. Le cercle étant l’anneau et couronne, et lui le diadème de cette REINE du Castel. »

L’équerre et le compas, instruments de mesure choisis par les premiers Francs-Maçons appartiennent à la fois au géomètre et au navigateur ; il faut nous rendre près du méridien zéro et dessiner un « signe de quatre » désignant à la fois le Christ et le Grand Romain (Pompeius Quartus) en décomposant le signe de la croix.

 

CANCER
« Les dalles du pavé mosaïque du lieu sacré pouvaient être alternativement blanches ou noires, et JESUS, comme ASMODEE observer leurs alignements, ma vue semblait incapable de voir le sommet où demeurait cachée la merveilleuse endormie. N’étant pas HERCULE à la puissance magique, comment déchiffrer les mystérieux symboles gravés par les observateurs du passé. Dans le sanctuaire pourtant le bénitier, fontaine d’amour des croyants redonne mémoire de ces mots : PAR CE SIGNE TU le VAINCRAS. »

Nous revenons ensuite dans l’église de Rennes-le-Château dont le carrelage figure un échiquier qui représente le Monde où s’affrontent les forces du Bien et du Mal (Jésus et Asmodée sont inversés dans leur attitude et la couleur de leurs habits).
L’auteur rappelle ensuite la magie d’Hercule qui vint jadis au pied des Pyrénées ; serions-nous dans le jardin des Hespérides (à l’ouest de l’Italie pour les Romains) dont les douze pommes d’or sont représentées dans les armoiries des comtes de Toulouse et le blason occitan ?...
La solution de l’énigme est pourtant cachée dans la phrase que l’on peut lire sur le bénitier : « Par ce signe, tu LE vaincras. »
Le « L » et le « E » rajoutés par Bérenger Saunière occupent les 13ème et 14ème emplacement de la phrase, allusion au « M » et au « N » qui sont les 13ème et 14ème lettres de l’alphabet et la clef du secret.

 

LION
« De celle que je désirais libérer, montaient vers moi les effluves du parfum qui imprégnèrent le sépulcre. Jadis les uns l’avaient nommée : ISIS, reine des sources bienfaisantes, VENEZ A MOI VOUS TOUS QUI SOUFFREZ ET QUI ETES ACCABLES ET JE VOUS SOULAGERAI, d’autres : MADELEINE, au célèbre vase plein d’un baume guérisseur. Les initiés savent son nom véritable : NOTRE DAME DES CROSS. »

L’auteur cite Isis la déesse égyptienne de la magie, capable de guérir, comme le Graal. Les vierges noires représentent toutes Isis et préfigurent la Vierge des Chrétiens, en tant que déesse mère.
Notre Dame de Cross serait-elle l’abbaye de Marçeille dont les murs sont tapissés de croix et où une vierge noire guérit les yeux gâtés, comme la fontaine de Siloé à Jérusalem ?
A Marçeille où vint St Vincent de Paul pendant l’année de sa mystérieuse disparition en 1605, est cachée la solution d’un secret et s’ouvrent les yeux de la Connaissance.

 

VIERGE
« J’étais comme les bergers du célèbre peintre POUSSIN, perplexe devant l’énigme : « ET IN ARCADIA EGO... ». La voix du sang allait-elle me rendre l’image d’un passé ancestral. Oui, l’éclair du génie traversa ma pensée. Je revoyais, je comprenais ! Je savais maintenant ce secret fabuleux. Et merveille lors des sauts des autres cavaliers, les sabots d’un cheval avaient laissé quatre empreintes sur la pierre, voilà le signe que DELACROIX avait donné dans l’un des trois tableaux de la chapelle des Anges. Voilà la septième sentence qu’une main avait tracée : RETIRE MOI DE LA BOUE, QUE JE N’Y RESTE PAS ENFONCE. Deux fois IS, embaumeuse et embaumée, vase miracle de l’éternelle Dame Blanche des Légendes. »

L’auteur inspiré relie les oeuvres des peintres Poussin et Delacroix :
- Dans la célèbre devise des « BERGERS D’ARCADIE » de Poussin, il traduit Arcadie par Arca dei qui peut à la fois se lire « Arche des dieux » ou « Tombeau de Dieu », « Arcas » désignant aussi bien le coffre que le cercueil.
- Le tableau de Delacroix représentant un cavalier au cheval blanc, et que l’on peut observer dans la chapelle des Saints Anges à Saint Sulpice, s’appelle « HELIODORE CHASSE DU TEMPLE ». Pour de très nombreux auteurs comme pour moi-même, il est codé...
Dans « APOCALYPSE », le cheval blanc porte Jésus que nous avons désigné comme l’Ange Exterminateur ; le cheval s’élève au-dessus des airs, suggérant à la fois le « saut du cavalier » du jeu d’échec et la cabale phonétique indiquant que le secret est dans l’air = R = aire.
Ici, il est mentionné quatre cavaliers qui sont les quatre cavaliers de l’Apocalypse.
« RETIRE MOI DE LA BOUE QUE JE N’Y RESTE PAS ENFONCE » pourrait se lire non pas dans le sens littéral mais allégorique : « Sors-moi de la caverne (BOVE) que je n’y reste pas oublié-e- ».
Ici, 2 fois IS ne désigne pas Jésus fils du Père (Bar-Aba) mais l’Arche d’Alliance, à la fois embaumeuse car ses radiations protègent de toute putréfaction (cf.-Exode 16(33)-) et embaumée car elle-même mise à l’abri hors du temps.

 

BALANCE
« Commencé dans les ténèbres, mon voyage ne pouvait s’achever qu’en Lumière. A la fenêtre de la maison ruinée, je contemplais à travers les arbres dépouillés par l’automne le sommet de la montagne. La croix de crète se détachait sous le soleil du midi, elle était la quatorzième et la plus grande de toutes avec ses 35 centimètres ! Me voici donc à mon tour cavalier sur le coursier divin chevauchant l’abîme. »

L’auteur se trouve maintenant dans les ruines de la cathédrale d’Alet ; par « la fenêtre de la maison ruinée » il contemple le sommet du mont du Sauveur, le Mont Salvat (où se trouve le château invisible du Graal) devenu plus tard le mont St Salvaire (pour ayre de Mont Salvat). Sur la ligne de crête, au sommet du Cap de l’Hommé (filius hominis : Boudet p.234), au sommet du menhir, se trouvait au temps de Boudet une tête (capo) du Sauveur remplacée plus tard par une croix grecque ; ce lieu marque la 14ème et dernière station du chemin de croix, et le menhir la proximité du tombeau.

 

SCORPION
« Vision céleste pour celui qui se souvient des quatre oeuvres de Em..SIGNOL autour de la ligne du Méridien, au choeur même du sanctuaire d’où rayonne cette source d’amour des uns pour les autres, je pivote sur moi-même passant du regard la rose du P à celle du l’S, puis de l’S au P...et la spirale dans mon esprit devenant comme un poulpe monstrueux expulsant son encre, les ténèbres absorbent la lumière, j’ai le vertige et je porte ma main à ma bouche mordant instinctivement ma paume, peut-être comme OLIER dans son cercueil. Malédiction, je comprends la vérité, IL EST PASSE, mais lui aussi en faisant LE BIEN, ainsi que CELUI de la tombe fleurie. Mais combien ont saccagé la MAISON, ne laissant que des cadavres embaumés et nombres de métaux qu’ils n’avaient pu emporter. Quel étrange mystère recèle le nouveau temple de SALOMON édifié par les enfants de Saint VINCENT. »

Le dixième signe renvoie à l’église St Sulpice et aux tableaux codés du peintre Signol situés de part et d’autre de la ligne rouge du méridien (rose ligne) encore appelée arcanne et qui suggère que l’Arche est au nez (arc-à-nez).
Le nom même d’Emile Signol contient le secret, « Em. » étant le « M » de « Ecriture D.M. » (ou des M), tandis que le nom se lit « Signe-Hole » c’est à dire qui « montre le trou » (ou l’entrée).
L’abbé Olier qui vécut au 17ème siècle et reconstruisit l’église St Sulpice, gardien des secrets Rose Croix, fut exhumé lors de la Révolution Française, et à la surprise générale, il fut remarqué qu’il se mordait la paume, son bras plié formant un angle ; avait-on voulu signifier post-mortem que les pommes bleues étaient les paumes de la main (dans un roman, Maurice Leblanc fait dire à l’un de ses personnages « si tu as faim, mange-toi la paume ») et l’angle du coude qui formait triangle (D) Daleth ?
CELUI qui est passé en faisant le bien a précédé le marquis de Fleury. Il s’agit de Jésus ainsi que cela est écrit dans « LES ACTES DES APOTRES » 10.(38) :

« Jésus de Nazareth, qui - allait de lieu en lieu faisant du bien...- ».

Puis l’auteur révèle l’existence du troisième Temple de Salomon (inconnu de tous) édifié par les enfants de Saint Vincent de Paul. Ce Temple contenant des dépôts précieux a reçu de nombreuses fois la visite de voleurs mais chaque fois l’Arche a joué son rôle de « gardien daemoniaque » en tuant les profanateurs dont les corps irradiés sont conservés (« embaumés »).

 

SERPENTAIRE
« Maudissant les profanateurs dans leurs cendres et ceux qui suivent sur leurs traces, sortant de l’abîme où j’étais plongé en accomplissant le geste d’horreur : voici la preuve que je connais le secret du sceau de SALOMON et que j’ai visité les demeures cachées de cette REINE. A ceci, Ami lecteur, garde toi d’ajouter ou de retrancher un iota... Médite, médite encore, le vil plomb de mon écrit pourrait contenir l’or le plus pur. »

Ici, l’auteur réaffirme sa connaissance d’un secret des dieux. Il compare la matière de son écrit au vil plomb que la Pierre Philosophale transmute en or pur.

 

SAGITTAIRE
« Revenant alors à la colline blanche, le ciel ayant ouvert ses vannes, il me sembla près de moi sentir une présence, les pieds dans l’eau comme celui qui vient de recevoir la marque du baptême, me retournant vers l’est, face à moi je vis déroulant sans fin ses anneaux, l’énorme SERPENT ROUGE cité dans les parchemins, salée et amère, l’énorme bête déchaînée devenant au pied de ce mont blanc, rouge de colère. »

La blanche colline n’est pas Blanchefort, mais le plateau blanc de la mine d’Alet sur laquelle se tient l’auteur. Il a les pieds dans l’eau parce qu’il pleut (« le ciel a ouvert ses vannes ») et non pas parce qu’il serait au bord d’une rivière. En se tournant vers l’est, donc en direction de Rennes-le-Château et d’Arques, il voit « au pied de ce mont blanc », l’Aude déchaînée et gonflée, dont les eaux rougies par la Sals salée et amère lui rappelle un serpent ou la « Bête »...

 

CAPRICORNE
« Mon émotion fut grande, « RETIRE-MOI DE LA BOUE » disais-je, et mon réveil fut immédiat. J’ai omis de vous dire en effet que c’était un songe que j’avais fait ce 17 janvier, fête de Saint SULPICE. Par la suite mon trouble persistant, après réflexion, j’ai souhaité vous le raconter à la manière d’un conte de PERRAULT. Cher lecteur, les pages qui suivent sont la conséquence d’un rêve m’ayant bercé dans les mondes de l’étrange et de l’inconnu. A CELUI QUI PASSE DE FAIRE LE BIEN. »

L’auteur conclut par un rappel de l’importance de l’église St Sulpice et de la date du 17 janvier qui sont en majuscules dans son texte. Ses écrits hermétiques ayant peu de chance d’être compris, il choisit de les présenter sous la forme d’un rêve, comme un conte de Perrault. Le rappel de ce nom suggéré dans le troisième signe n’est pas sibyllin mais souligne aussi l’importance de l’observatoire de Paris d’où part le méridien zéro laïque, observatoire construit par Perrault en 1667, et frère du conteur.

 

P.SILVAIN

 

COMMENTAIRES ET DISCUSSIONS

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