LE TOMBEAU DE CHRISTIAN ROSENKREUTZ
Posté : dim. 3 mars 2024 18:06
-Car les roses et les croix grecques qui tapissent les murs de l'église de Rennes-le-château ne signifient pas que Saunière fut R+C (selon Daniel Dugès), mais qu'il répète l'existence de la tombe (+) de la Rose (roses) qui désigne le crucifié.
VOIR TABLEAU COCTEAU
UN PEU D'HISTOIRE
Lors de la reddition de Montségur en 1244, les reliques embaumées du crucifié de Pilate appelé Jésus (et qui est Jean le Baptiste) furent translatées de la grotte située au rocher de l'Aigle (à St Salvayre) dans une "cella" située près du château de Serres et sous la responsabilité des Templiers LOCAUX qui avaient des liens familiaux avec les Seigneurs Cathares. L'emplacement du tombeau fut déterminé par l'application de " l'Escriture D.M."
Les Templiers locaux créèrent un ordre secret à l'intérieur de l'Ordre, dont les membres se distinguèrent par le port d'une rose désignant le crucifié.
Ce furent les chevaliers à la rose, croix rouge (pour Templiers) et le crucifié fut renommé par discrétion Christian Rosenkreutz.(Confer le roman de Umberto Eco "Le nom de la rose".)
Après l'arrestation surprise de tous les Templiers de France à l'aube du vendredi 13 octobre 1307, le cercueil retourna dans la grotte de St Salvayre et
c'est là qu'il fut redécouvert par hasard par la R+C ainsi que le rapporte LA FAMA FRATERNITATIS.
Puis la Fama lui construisit un nouveau tombeau, A l'ombre de tes ailes, Jehova" qui désigne Aleth dont le blason contient 2 ailes déployées.
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Saint Vincent de Paul fit nommer Nicolas Pavillon Evêque du diocèse d'Aleth où il exerça son ministère de 1637 à 1677. Il précisa dans son testament, l'emplacement de sa tombe, dans une allée, " à côté d'une croix Jésuite" ce qui est incroyable venant d'un adversaire des Jésuites, mais qui se comprend si l'on sait que leur sigle se lit "Compagnie de Jésus".
Pavillon voulait donc signifier, que même mort il veillait sur la tombe de Jésus, en sa compagnie.
Et les tombes de deux autres évêques d'Aleth sont disposées en prolongement de la sienne, formant une flèche pointant sur la mine d'Aleth où se trouvait le tombeau.
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Plus tard, les reliques du crucifié, qui sont traquées par les "Faussaires" furent encore une fois déplacées jusqu'à leur redécouverte par l'abbé Saunière.
C'est le sens secret de MISSION 1891 du pilier Wisigothique renversé et complété qui se trouve devant l'entrée de l'église de Rennes-le-Château.
-Dans son roman "L'Ile aux 30 cercueils" l'action se déroule sur l'ile de Sarek (anagramme de ARKES pour Arques) qui ressemble trait pour trait à l'ile de Sark qui se trouve au large des côtes normandes. Cette ile est comme coupée en 2 par un rétrécissement, et cette coupure énorme symbolise le méridien zéro qui sépare la Terre en deux parties. A l'est ARKES avec sa "Maison archignat" qui rappelle le Temple où se trouve l'Arche, et à l'ouest le Prieuré qui désigne l'ancienne cathédrale d'Aleth.
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Nous retrouvons dans le roman une Pierre Dieu qui donne vie et mort (faisant penser à des tables de la Loi radio-actives) et un menhir portant l'inscription N°17 (chiffre récurrent), de même qu'un Vorski personnage diabolique et adultérin (= fils du père = Barabbas) faisant crucifier ses victimes.
Mais POURQUOI l'ile aux 30 cercueils et non pas aux 30 écueils ?
Car il s'agit d'une devinette ...Les lettres C et R sont dans le mot CeRcueil ce qui suggère le cercueil de Christian Rosenkreutz.
-La suite nous est suggérée dans un autre roman tardif de Leblanc, "La Comtesse de Cagliostro", dans lequel la constellation de la Grande Ourse est mise à contribution. En effet, elle est la clef de la seconde version des "Bergers d'Arcadie" qui est le plus célèbre des tableaux de Nicolas Poussin, celui-là même qui apporta le Grand Secret à Nicolas Fouquet, alors qu'il se trouvait à Rome.
Alors même que le peintre Guerchin montre le tombeau du crucifié identifiable au crâne symbolisant Jean le Baptiste (pseudo décapité), Poussin représente à l'aide de ses personnages des constellations (Vierge, Hercule, Bouvier ) qui projetées sur Terre montrent l'emplacement du "Messie".
VOIR TABLEAU COCTEAU
UN PEU D'HISTOIRE
Lors de la reddition de Montségur en 1244, les reliques embaumées du crucifié de Pilate appelé Jésus (et qui est Jean le Baptiste) furent translatées de la grotte située au rocher de l'Aigle (à St Salvayre) dans une "cella" située près du château de Serres et sous la responsabilité des Templiers LOCAUX qui avaient des liens familiaux avec les Seigneurs Cathares. L'emplacement du tombeau fut déterminé par l'application de " l'Escriture D.M."
Les Templiers locaux créèrent un ordre secret à l'intérieur de l'Ordre, dont les membres se distinguèrent par le port d'une rose désignant le crucifié.
Ce furent les chevaliers à la rose, croix rouge (pour Templiers) et le crucifié fut renommé par discrétion Christian Rosenkreutz.(Confer le roman de Umberto Eco "Le nom de la rose".)
Après l'arrestation surprise de tous les Templiers de France à l'aube du vendredi 13 octobre 1307, le cercueil retourna dans la grotte de St Salvayre et
c'est là qu'il fut redécouvert par hasard par la R+C ainsi que le rapporte LA FAMA FRATERNITATIS.
Puis la Fama lui construisit un nouveau tombeau, A l'ombre de tes ailes, Jehova" qui désigne Aleth dont le blason contient 2 ailes déployées.
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Saint Vincent de Paul fit nommer Nicolas Pavillon Evêque du diocèse d'Aleth où il exerça son ministère de 1637 à 1677. Il précisa dans son testament, l'emplacement de sa tombe, dans une allée, " à côté d'une croix Jésuite" ce qui est incroyable venant d'un adversaire des Jésuites, mais qui se comprend si l'on sait que leur sigle se lit "Compagnie de Jésus".
Pavillon voulait donc signifier, que même mort il veillait sur la tombe de Jésus, en sa compagnie.
Et les tombes de deux autres évêques d'Aleth sont disposées en prolongement de la sienne, formant une flèche pointant sur la mine d'Aleth où se trouvait le tombeau.
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Plus tard, les reliques du crucifié, qui sont traquées par les "Faussaires" furent encore une fois déplacées jusqu'à leur redécouverte par l'abbé Saunière.
C'est le sens secret de MISSION 1891 du pilier Wisigothique renversé et complété qui se trouve devant l'entrée de l'église de Rennes-le-Château.
-Dans son roman "L'Ile aux 30 cercueils" l'action se déroule sur l'ile de Sarek (anagramme de ARKES pour Arques) qui ressemble trait pour trait à l'ile de Sark qui se trouve au large des côtes normandes. Cette ile est comme coupée en 2 par un rétrécissement, et cette coupure énorme symbolise le méridien zéro qui sépare la Terre en deux parties. A l'est ARKES avec sa "Maison archignat" qui rappelle le Temple où se trouve l'Arche, et à l'ouest le Prieuré qui désigne l'ancienne cathédrale d'Aleth.
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Nous retrouvons dans le roman une Pierre Dieu qui donne vie et mort (faisant penser à des tables de la Loi radio-actives) et un menhir portant l'inscription N°17 (chiffre récurrent), de même qu'un Vorski personnage diabolique et adultérin (= fils du père = Barabbas) faisant crucifier ses victimes.
Mais POURQUOI l'ile aux 30 cercueils et non pas aux 30 écueils ?
Car il s'agit d'une devinette ...Les lettres C et R sont dans le mot CeRcueil ce qui suggère le cercueil de Christian Rosenkreutz.
-La suite nous est suggérée dans un autre roman tardif de Leblanc, "La Comtesse de Cagliostro", dans lequel la constellation de la Grande Ourse est mise à contribution. En effet, elle est la clef de la seconde version des "Bergers d'Arcadie" qui est le plus célèbre des tableaux de Nicolas Poussin, celui-là même qui apporta le Grand Secret à Nicolas Fouquet, alors qu'il se trouvait à Rome.
Alors même que le peintre Guerchin montre le tombeau du crucifié identifiable au crâne symbolisant Jean le Baptiste (pseudo décapité), Poussin représente à l'aide de ses personnages des constellations (Vierge, Hercule, Bouvier ) qui projetées sur Terre montrent l'emplacement du "Messie".