SIGNIFICATION DU 17 JANVIER
Posté : lun. 26 févr. 2024 15:17
PREMIERE PARTIE
La date du 17 janvier est récurrente dans l'énigme dite de Rennes-le-château.
Non seulement nous la trouvons sur la stèle S.E.S.A. de la châtelaine de RLC, Marie de Nègre d'Ablès décédée le 17 janvier 1781, mais elle est suggérée sur la tombe de l'abbé Jean Vié ancien curé de Rennes les Bains décédé le 1er septembre (en réalité 31 aout) 1872.
1 7bre Jean Vié se lit 17 janvier
La quasi totalité des chercheurs a conclu à l'existence d'une ligne reliant les tombes de RLC et RLB, qu'ils appellent ligne du 17 janvier.
Pour ma part, je prétends avoir découvert une autre ligne qui serait la vraie ligne d'origine du 17 janvier...
DEUXIEME PARTIE
Le domaine de l'abbé Saunière comporte plusieurs grottes qu'il construisit lui-même à l'aide de pierres qu'il rapportait dans une hotte et ramenait du ruisseau des couleurs. Ces grottes sont situées à côté du calvaire qui se trouve dans le petit jardin qui est devant l'entrée du cimetière.
Dans ce même jardin, et à gauche de l'allée conduisant à l'église, il dressa l'unique pilier renversé tête en bas, qui soutenait l'ancien maître-autel ; et sur ce pilier il plaça une statue de N.D. de Lourdes soulignée des mots "Pénitence, Pénitence".
Notons que le jardin étant public, il sollicita l'autorisation de la mairie ainsi que le rapporte le chercheur Patrick Mensior.
Persuadé, dès le début, que ces grottes n'étaient que la maquette de grottes existant réellement dans la nature et troublé par l'insistance de l'abbé
à positionner le pilier à cet endroit précis du jardin, je formulai l'hypothèse que le pilier qui est une pierre dressée symbolise le menhir des Pontils qui est appelé "Pierre dressée". D'autre part, l'homonymie entre la tour appelée "serre" et le château de "Serres" situé à quelques kilomètres ne cessait de m'interpeller !
Je me procurai donc un plan du domaine dressé par Alain Féral et traçai la droite reliant la serre du domaine et la première grotte restaurée qui se trouve à main droite de l'allée. Pour constater sans surprise qu'elle passe exactement sur le pilier surmonté de N.D. de Lourdes.
Je me trouvai donc devant un alignement "serre-pilier-grotte" que je vérifiai immédiatement sur une carte Michelin en reliant le château de Serres au menhir des Pontils, puis en prolongeant cette ligne pour aboutir . . . à une grotte située à la sortie est du village d'Arques, au bord de la route !
CONCLUSION PRELIMINAIRE
Le plan du domaine contient des informations relatives à un secret et conduisant à la grotte d'Arques dont l'abbé Saunière indiquait l'importance.
TROISIEME PARTIE
Cette grotte visible de tous contenait-elle un secret ou bien représentait-elle une étape vers le but de ma recherche ?
C'est ici que Lupin (dont la fête fut opportunément fixée le 4 mai, jour de la Saint Sylvain), qui est mon guide, vint à mon aide :
A la page 204 de "Arsène Lupin Supérieur inconnu..." Patrick Ferté insiste sur une remarque de Maurice Leblanc parue dans "Les 8 coups de l'horloge" :
" Ne devait-on pas aller jusqu'au bout de l'argumentation qui attribuait aux chiffres, à tous les chiffres, aux derniers comme aux autres, leur valeur de dates éventuelles ? "
Inversement, toute date ne devrait-elle pas être considérée comme un chiffre ? et dans ce cas particulier, 17 janvier ne doit-il pas se lire 171 ?
Une vérification immédiate de la pente de la droite me montra un angle de 171°, ce qui m'encouragea à poursuivre mes investigations.
Je venais de découvrir LE SECRET DES DATES !
Un roman très important de Maurice Leblanc, "La Comtesse de Cagliostro" devait faire progresser mon enquête ; en effet ce roman qui met aux prises le jeune Lupin et la diabolique créature qu'est la Cagliostro aboutit à la découverte d'un trésor, avec pour toile de fonds la présence de la Ménorah qui est le chandelier à 7 branches ramené à Rome par Titus en 70 lors de la chute de Jérusalem, puis pillé par les Wisigoths en 410, avant d'aboutir à Carcassonne.
Ce chandelier à 7 branches était avec l'Arche d'Alliance (disparue depuis - 587) et la table des pains d'oblation, l'un des plus grands trésors du deuxième temple rénové par Hérode le Grand.
La clef du roman basée sur le chiffre 7 (comme les 7 branches, la Septimanie province située dans l'actuelle Occitanie, et qui comportait 7 évêchés) est l'étoile Alcor qui désigne la petite étoile tournant autour de Mizar qui est la 6ème étoile de la Grands Ourse, constellation très chère aux Wisigoths. Le nom de Alcor signifie en arabe le mot "épreuve" car cette étoile très difficile à distinguer servait de test visuel aux marins.
Dans le roman, Arsène Lupin découvre que plusieurs abbayes du Pays de Caux (en Normandie) sont disposées sur une carte comme la projection terrestre de la Grande Ourse (7 étoiles) en rapport avec alcor qu'il faut prendre comme un acronyme A.L.C.O.R. de la phrase suivante:
"Ad Lapidem Curebat Olim Regina" , phrase en latin qui se lit : " Vers la pierre courrait autrefois la reine"...
Mais il rajoute en ITALIQUES (utilisées une seule fois dans le roman) : Mais de quelle reine s'agit-il ? (Remarque de P. Ferté)
Je trouvai en quelques secondes la réponse qui s'imposait en anagrammant l'acronyme puis en remplaçant le mot Reine par Rennes ...
C.A.L.O.R. qui se lit Curebat Ad Lapidem Olim Rhedae soit "Cours vers la pierre de l'ancienne Rennes" , qui ne peut être que le menhir des Pontils.
C'est pourquoi je décidai de mesurer la distance entre le menhir des Pontils et la grotte d'Arques et non pas à partir du château de Serres.
Je partais de l'hypothèse que PAX681 découlant du décodage du Grand Parchemin (P2) peut se lire ARC 681 (ARC pour la direction d'Arques et 681 pour une distance exprimée en toises) auquel je rajoutai 1000, et vérifiai sur une carte IGN QUILLAN 2347 OT au 1/25000.
La toise (de l'Ecritoire) valant 1, 649 mètre, 1681 toises font 3276 mètres.
L'échelle de la carte 1/25000 signifie que 1cm représente 250 mètres et que 4 cm représentent 1000 mètres
Il s'ensuit par une simple règle de trois que 1681 toises, soit 3276 mètres font 13,1 cm.
La mesure de 13,1 cm sur la carte aboutit EXACTEMENT à la grotte (intersection de ma droite et de la route).
CONCLUSION
En prenant pour origine de mes mesures le menhir des Pontils, je venais de vérifier que la date du 17 janvier qui est aussi celle de la fête de Saint Antoine Ermite représenté dans l'église de RLC représente un angle, et que 1681 exprimé en toises représente la distance du Menhir à la grotte.
C'est pour cette raison qu'un C de la date (1781) MDCCLXXXI de décès de Marie de Nègre a été remplacé par un O donnant (1681) MDCLXXXI, alors qu'il existe d'autres C dans le texte de l'épitaphe, pour former le code MORT EpéE.
En d'autres termes,17 janvier 1681 de la stèle est l'adresse de la grotte d'Arques, et une confirmation de ma découverte.
J'ai donc découvert ce jour là le système de géolocalisation utilisé par les Templiers ! C'est un système de coordonnées à 2 dimensions ainsi que représenté ci-dessous:
Le menhir représente le Pôle
La date (jour et mois) représente la coordonnée angulaire (Angle mesuré dans le sens des aiguilles d'une montre)
L'année (4 chiffres) représente la distance (R) exprimée en toises
Le tout s'appelle Système de coordonnées polaires encore appelées coordonnées Ulpian, du nom de son inventeur.
Ce système de coordonnées découvertes il y a 25 ans fut mon guide, au cours de ces années de solitude où je fus le seul détenteur du Grand Secret.
La date du 17 janvier est récurrente dans l'énigme dite de Rennes-le-château.
Non seulement nous la trouvons sur la stèle S.E.S.A. de la châtelaine de RLC, Marie de Nègre d'Ablès décédée le 17 janvier 1781, mais elle est suggérée sur la tombe de l'abbé Jean Vié ancien curé de Rennes les Bains décédé le 1er septembre (en réalité 31 aout) 1872.
1 7bre Jean Vié se lit 17 janvier
La quasi totalité des chercheurs a conclu à l'existence d'une ligne reliant les tombes de RLC et RLB, qu'ils appellent ligne du 17 janvier.
Pour ma part, je prétends avoir découvert une autre ligne qui serait la vraie ligne d'origine du 17 janvier...
DEUXIEME PARTIE
Le domaine de l'abbé Saunière comporte plusieurs grottes qu'il construisit lui-même à l'aide de pierres qu'il rapportait dans une hotte et ramenait du ruisseau des couleurs. Ces grottes sont situées à côté du calvaire qui se trouve dans le petit jardin qui est devant l'entrée du cimetière.
Dans ce même jardin, et à gauche de l'allée conduisant à l'église, il dressa l'unique pilier renversé tête en bas, qui soutenait l'ancien maître-autel ; et sur ce pilier il plaça une statue de N.D. de Lourdes soulignée des mots "Pénitence, Pénitence".
Notons que le jardin étant public, il sollicita l'autorisation de la mairie ainsi que le rapporte le chercheur Patrick Mensior.
Persuadé, dès le début, que ces grottes n'étaient que la maquette de grottes existant réellement dans la nature et troublé par l'insistance de l'abbé
à positionner le pilier à cet endroit précis du jardin, je formulai l'hypothèse que le pilier qui est une pierre dressée symbolise le menhir des Pontils qui est appelé "Pierre dressée". D'autre part, l'homonymie entre la tour appelée "serre" et le château de "Serres" situé à quelques kilomètres ne cessait de m'interpeller !
Je me procurai donc un plan du domaine dressé par Alain Féral et traçai la droite reliant la serre du domaine et la première grotte restaurée qui se trouve à main droite de l'allée. Pour constater sans surprise qu'elle passe exactement sur le pilier surmonté de N.D. de Lourdes.
Je me trouvai donc devant un alignement "serre-pilier-grotte" que je vérifiai immédiatement sur une carte Michelin en reliant le château de Serres au menhir des Pontils, puis en prolongeant cette ligne pour aboutir . . . à une grotte située à la sortie est du village d'Arques, au bord de la route !
CONCLUSION PRELIMINAIRE
Le plan du domaine contient des informations relatives à un secret et conduisant à la grotte d'Arques dont l'abbé Saunière indiquait l'importance.
TROISIEME PARTIE
Cette grotte visible de tous contenait-elle un secret ou bien représentait-elle une étape vers le but de ma recherche ?
C'est ici que Lupin (dont la fête fut opportunément fixée le 4 mai, jour de la Saint Sylvain), qui est mon guide, vint à mon aide :
A la page 204 de "Arsène Lupin Supérieur inconnu..." Patrick Ferté insiste sur une remarque de Maurice Leblanc parue dans "Les 8 coups de l'horloge" :
" Ne devait-on pas aller jusqu'au bout de l'argumentation qui attribuait aux chiffres, à tous les chiffres, aux derniers comme aux autres, leur valeur de dates éventuelles ? "
Inversement, toute date ne devrait-elle pas être considérée comme un chiffre ? et dans ce cas particulier, 17 janvier ne doit-il pas se lire 171 ?
Une vérification immédiate de la pente de la droite me montra un angle de 171°, ce qui m'encouragea à poursuivre mes investigations.
Je venais de découvrir LE SECRET DES DATES !
Un roman très important de Maurice Leblanc, "La Comtesse de Cagliostro" devait faire progresser mon enquête ; en effet ce roman qui met aux prises le jeune Lupin et la diabolique créature qu'est la Cagliostro aboutit à la découverte d'un trésor, avec pour toile de fonds la présence de la Ménorah qui est le chandelier à 7 branches ramené à Rome par Titus en 70 lors de la chute de Jérusalem, puis pillé par les Wisigoths en 410, avant d'aboutir à Carcassonne.
Ce chandelier à 7 branches était avec l'Arche d'Alliance (disparue depuis - 587) et la table des pains d'oblation, l'un des plus grands trésors du deuxième temple rénové par Hérode le Grand.
La clef du roman basée sur le chiffre 7 (comme les 7 branches, la Septimanie province située dans l'actuelle Occitanie, et qui comportait 7 évêchés) est l'étoile Alcor qui désigne la petite étoile tournant autour de Mizar qui est la 6ème étoile de la Grands Ourse, constellation très chère aux Wisigoths. Le nom de Alcor signifie en arabe le mot "épreuve" car cette étoile très difficile à distinguer servait de test visuel aux marins.
Dans le roman, Arsène Lupin découvre que plusieurs abbayes du Pays de Caux (en Normandie) sont disposées sur une carte comme la projection terrestre de la Grande Ourse (7 étoiles) en rapport avec alcor qu'il faut prendre comme un acronyme A.L.C.O.R. de la phrase suivante:
"Ad Lapidem Curebat Olim Regina" , phrase en latin qui se lit : " Vers la pierre courrait autrefois la reine"...
Mais il rajoute en ITALIQUES (utilisées une seule fois dans le roman) : Mais de quelle reine s'agit-il ? (Remarque de P. Ferté)
Je trouvai en quelques secondes la réponse qui s'imposait en anagrammant l'acronyme puis en remplaçant le mot Reine par Rennes ...
C.A.L.O.R. qui se lit Curebat Ad Lapidem Olim Rhedae soit "Cours vers la pierre de l'ancienne Rennes" , qui ne peut être que le menhir des Pontils.
C'est pourquoi je décidai de mesurer la distance entre le menhir des Pontils et la grotte d'Arques et non pas à partir du château de Serres.
Je partais de l'hypothèse que PAX681 découlant du décodage du Grand Parchemin (P2) peut se lire ARC 681 (ARC pour la direction d'Arques et 681 pour une distance exprimée en toises) auquel je rajoutai 1000, et vérifiai sur une carte IGN QUILLAN 2347 OT au 1/25000.
La toise (de l'Ecritoire) valant 1, 649 mètre, 1681 toises font 3276 mètres.
L'échelle de la carte 1/25000 signifie que 1cm représente 250 mètres et que 4 cm représentent 1000 mètres
Il s'ensuit par une simple règle de trois que 1681 toises, soit 3276 mètres font 13,1 cm.
La mesure de 13,1 cm sur la carte aboutit EXACTEMENT à la grotte (intersection de ma droite et de la route).
CONCLUSION
En prenant pour origine de mes mesures le menhir des Pontils, je venais de vérifier que la date du 17 janvier qui est aussi celle de la fête de Saint Antoine Ermite représenté dans l'église de RLC représente un angle, et que 1681 exprimé en toises représente la distance du Menhir à la grotte.
C'est pour cette raison qu'un C de la date (1781) MDCCLXXXI de décès de Marie de Nègre a été remplacé par un O donnant (1681) MDCLXXXI, alors qu'il existe d'autres C dans le texte de l'épitaphe, pour former le code MORT EpéE.
En d'autres termes,17 janvier 1681 de la stèle est l'adresse de la grotte d'Arques, et une confirmation de ma découverte.
J'ai donc découvert ce jour là le système de géolocalisation utilisé par les Templiers ! C'est un système de coordonnées à 2 dimensions ainsi que représenté ci-dessous:
Le menhir représente le Pôle
La date (jour et mois) représente la coordonnée angulaire (Angle mesuré dans le sens des aiguilles d'une montre)
L'année (4 chiffres) représente la distance (R) exprimée en toises
Le tout s'appelle Système de coordonnées polaires encore appelées coordonnées Ulpian, du nom de son inventeur.
Ce système de coordonnées découvertes il y a 25 ans fut mon guide, au cours de ces années de solitude où je fus le seul détenteur du Grand Secret.