Re: LE TRESOR DE SAUNIERE
Posté : mer. 7 févr. 2024 21:19
Aronnax a écrit : ↑mer. 7 févr. 2024 19:54 Bonsoir à tous
Imagine un coffre fort de famille, dans une bonne vieille banque à l'ancienne... il sera utilisé par des générations de membres de ladite famille.
Et les bons au porteur et les lingots de l’arrière grand père côtoieront les billets et les louis d’or du grand-père... et les diams de la grand-mère voisineront avec les euros et les moyens de paiement virtuels du fiston.
Idem pour le dépôt, sous le plateau. Je pense qu’il s’agissait d’un lieu où furent cachés, sur le long terme et selon les aléas du moment, divers bien d’église, certes ... mais pas que
La thèse du trésor de Monseigneur de Lacropte de Chanterac, le dernier évêque d’Alet, reste privilégiée par les « pointures de l’affaire ».
Perso, ce n’est pas la mienne... mais je suis « petit garçon » devant eux, donc, mon avis pèse peu dans la balance.
D'autant que cela ne revêt que peu d'importance... car nous sommes d'accord sur tout le reste (souterrain, dépôt découvert par Saunière, plusieurs accès dont un dernier qui se sera effondré, bijoux détenus par l'abbé jusqu'à la fin de sa vie, puis par Marie, dons à des membres proches des deux familles, bijoux et pièces en or encore dans le « circuit » dans les années 1990 et 2000 etc...)
Les pistes se sont, finalement, toutes recoupées. Et toutes les infos n'ont pas été divulguées... et pour cause.
Quand l’accès au sous-sol sera autorisé ... l’énigme sacrée n’en sera plus une.
Le fameux maquignon, Achille Igounet, qui allait chercher « l’homme en noir » en gare de Couiza, avec la calèche, il était vraisemblablement de la famille du restaurateur de Couiza... celui qui est mentionné dans le fameux bulletin.
Igounet était chargé d’apporter les petits objets en provenance du souterrain aux antiquaires Lambrigot, père et fils. C’est lui qui prêta 3000 francs au curé, en 1886... Bérenger Saunière était son parrain.
Achille et Bérenger se sont pris une cuite mémorable, à Carcassonne, lorsque Saunière était vicaire à Alet les Bains. Fins saouls tous deux, bras dessus bras dessous, après avoir échangé leurs chapeaux et emprunté la mandoline d’un mendiant, ils entonnèrent de joyeux chants égrillards, l’un d’entre eux, en patois Occitan, relatant l’histoire d’un curé et de son âne. Ce serait, murmura t’on dans les « milieux autorisés », cet écart de conduite, de nature à entacher gravement la réputation de l’Eglise, qui aurait valu à Bérenger Saunière sa mutation à la cure du Clat.
Fin de l’anecdote.
Mon "Schwab" à moi, il était quincailler à Toulouse. De fait, il disposait de tout le matériel de fonte car il fondait la ferraille. Son commerce était proche d’une des banques de Saunière, de Mona le statuaire et du labo de Clovis Lassalle. De plus, il fréquentait plusieurs sociétés savantes de Toulouse et y côtoyait des personnes plus ou moins en lien avec RLC. Tout cela est référencé.
Salut Virgile
Au sujet des imitations des statères d’or de Philippe II de Macédoine.
2 exemplaires furent trouvés près de Carcassonne... en des endroits différents.
C'est pour cela que ce type d'aurige a ma préférence
Salut Grominet
Oui, la piste de l’abbé Cauneille me semble intéressante à suivre.
Ne serait ce que parce que Philippe de Chérisey aura brodé un beau roman sur son pseudo séjour aux Canaries.
S’il a choisi d’évoquer ce prêtre, c’est que « celui » qui lui donnait les infos avait des biscuits à ce sujet.
C'est vraiment sympa de pouvoir échanger sur la véritable affaire... le cœur de cible.
C'est à dire la véritable énigme... le trésor de Rennes-le-Château.